iiiiiiiii | Décembre 2018 | |
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– Dans le numéro 238 de Spectra Biologie –
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Innovations |
Solution d’hématologie connectée dernière génération
Pour répondre à la demande des laboratoires à haut débit, HORIBA Medical a fait évoluer sa solution d’hématologie haut de gamme et vient de délivrer sa dernière génération : la solution HELO 2018.
L’analyse des échantillons de fluide corporel est maintenant disponible avec une solution de contrôle de qualité associée, BFtrol.
Les Yumizen H2500/H1500, modules analytiques centraux de cette solution, sont tous deux compatibles avec le Yumizen SPS (lame de coloration). Celui-ci peut maintenant imprimer des codes QR sur les lames et est compatible avec de nombreux analyseurs de numérisation tels que Cellavision®.
Les lames peuvent également être commandées manuellement à partir du mode STAT. L’utilisation d’un pavé numérique (clavier optionnel) facilite la révision des lames.
Les érythroblastes sont maintenant disponibles dans les deux modes (CBC et DIFF) sans nécessiter de test réflexe. Les résultats des contrôles qualité (CQ) deviennent exportables automatiquement et manuellement (formats CSV et XML). Les résultats (patients et CQ) sont analysés, vérifiés et validés par la station de validation hématologique spécialisée Yumizen P8000 (Middleware). Le dispositif Yumizen T6000 permet de relier tous les analyseurs connectés au convoyeur à haut débit. Basé sur plusieurs brevets, ce système optimise le flux des racks, pour un meilleur TAT.
Cette solution globale est disponible sous 4 types de configuration : standard linéaire, angulaire pour s’adapter aux locaux, en cellules de travail pour maximiser l’efficacité du personnel, en îlot pour minimiser l’empreinte. Accompagnée du programme QAP (programme d’assurance qualité), la solution HELO 2018 facilite l’établissement et le maintien de la certification ISO 15189.
Système d’hémostase automatisé pour débit moyen à élevé
Le panel Pneumonie Biofire® Filmarray® de bioMérieux a reçu l’accréditation 510(k) de la FDA et son panel Pneumonie plus Biofire® Filmarray® le marquage CE. Ces panels aident au diagnostic des infections des voies respiratoires inférieures.
Le panel Pneumonie Biofire® Filmarray® identifie 33 cibles sur des échantillons de type expectorations (prélèvement par aspiration endo-trachéale) et lavage broncho-alvéolaire (mini-LBA compris). La liste des cibles comprend : 18 bactéries, 8 virus et 7 gènes de résistance aux antibiotiques. Le panel Pneumonie plus Biofire® Filmarray® comprend les mêmes cibles ainsi que le virus émergent MERS-CoV.
Ces panels devraient contribuer à un usage raisonné des antibiotiques en évitant d’exposer les patients à des antibiotiques dont ils n’ont pas besoin.
Développés par BioFire Diagnostics, filiale de bioMérieux spécialisée en biologie moléculaire, ces deux panels innovants donnent des résultats semi-quantitatifs pour 15 bactéries analysées afin d’aider les cliniciens à faire la différence entre les micro-organismes naturellement présents et ceux provoquant l’infection. C’est la première fois que ce système utilise ses capacités de quantification de la PCR en temps réel et que la FDA approuve un test moléculaire multiplex semi-quantitatif.
Les tests Biofire® permettent une approche syndromique moléculaire rapide, précise et complète pour les infections des voies respiratoires inférieures, en testant simultanément la présence des micro-organismes les plus souvent à l’origine d’un ensemble de signes et de symptômes.
Ils complètent les panels respiratoires Biofire® Filmarray® existants, pour une solution diagnostique complète des infections respiratoires. Les résultats sont obtenus en une heure environ avec le système entièrement automatisé du même nom et nécessitent seulement quelques minutes de temps de manipulation. Biofire® Filmarray® est une solution de PCR multiplexe, marquée CE intégrant, dans un système fermé, la préparation des échantillons, l’amplification et la détection des pathogènes.
Actualités |
Medasys annonçait en octobre dernier ses récentes acquisitions, qui démontrent une volonté nette de faire croître sa Business Unit dédiée à la gestion des laboratoires. Après le rachat de DL Santé, l’éditeur s’est attaché l’offre d’Infologic-Santé, anciennement filiale à 100 % de E-log, pour un montant basé sur une valeur d’entreprise de 5 millions d’euros. Infologic-Santé équipe plus de 75 % des hôpitaux publics et plus de la moitié des laboratoires privés avec ses solutions dédiées à l’anatomopathologie et la génétique.
Un Pôle de Biologie en croissance continue
Avec l’acquisition de DL Santé, Medasys poursuit la consolidation et le développement de son Pôle de Biologie, né des synergies et du partage d’expertise avec Netika. Principalement positionné sur le segment des laboratoires de biologie médicale privée, DL Santé vient renforcer les équipes, enrichir le portefeuille de produits et contribuer au dynamisme du pôle. Cette acquisition permet au Groupe de renforcer sa position d’acteur incontournable sur le marché avec près de 4000 sites clients, un pôle composé de 500 experts dans le monde dont plus de 200 en France, de nouvelles solutions innovantes et des technologies d’échange et de partage destinées à répondre aux problématiques de mutualisation dans les secteurs public et privé.
Le Groupe vise également l’analyse cellulaire et génétique
L’arrivée de la société Infologic-Santé dans le Groupe, leader en France des solutions d’anatomopathologie et de génétique, permet à Medasys et Dedalus d’accroître la couverture fonctionnelle de leur offre afin de répondre aux enjeux stratégiques des GHT et des groupes privés français et internationaux. Infologic-Santé, renommée à cette occasion Dedalus C&G, pourra ainsi bénéficier d’une structure solide pour opérer son positionnement à l’international.
Grâce aux investissements réalisés, Medasys souhaite cibler tant les biologistes que les pathologistes avec des outils permettant d’implémenter de nouveaux paradigmes et un accompagnement de proximité.
Les résultats clés montrent que le test Aptima® HPV présente la même excellente sensibilité, mais une spécificité bien améliorée par rapport au test HPV ADN de référence :
– Sa sensibilité comparée à celle du test HC2 était de 91,5 % pour la détection des CIN3+ et les valeurs prédictives négatives de 99,8 % (99,5–99,9) pour HC2 et 99,7 % (99,4–99,8) pour Aptima HPV. Les données de suivi de ces femmes à
6 ans sont comparables entre les deux tests.
– Ce test ciblant l’ARNm des HPV à HR présente une spécificité considérablement supérieure (différence 1,2 % [IC à 95 %, 0,87 % à 1,48 %]) à celle du test de référence (p < 0,001). Ceci diminue le nombre de faux positifs de 23 % par rapport au test d’ADN de référence. Dans une population d’un million de femmes, ceci éviterait le mauvais diagnostic de 12 000 d’entre elles.
Ces résultats prennent toute leur pertinence à l’heure où les pays d’Europe évoluent vers des programmes de dépistage du cancer du col de l’utérus tous les 3 à 5 ans.
Chaque test HPV présentant une stratégie de ciblage, une sensibilité individuelle associée, et une qualité de spécificité différentes, ces tests doivent fournir leurs propres preuves d’efficacité clinique longitudinale. Jusqu’à présent, HC2 (Qiagen) était le seul test d’ADN d’HPV accompagné de preuves longitudinales étayant son utilisation sécurisée dans le cadre de programmes de dépistage à intervalles de plus de 4 ans.
Le Pr Thomas Iftner, explique : « le test Aptima HPV ciblant l’ARNm est le seul de son type à montrer une spécificité considérablement supérieure à celle du test de référence HC2, car il détecte l’ARNm des oncogènes viraux clés au lieu de détecter le gène lui-même. Par conséquent, un plus petit nombre d’infections passagères non pertinentes d’un point de vue clinique sont diagnostiquées par erreur. »
Ce test cible les types d’HPV à HR qui constituent la menace la plus importante pour les femmes. Les tests d’ADN détectent certains gènes d’HPV mais ils n’ont pas la capacité de faire la distinction entre une simple présence du virus et une infection active. En revanche, les tests d’ARNm peuvent détecter les transcrits des gènes viraux qui ne sont présents qu’en cas d’infection des cellules. Alors que d’autres tests HPV ciblent l’ADN, ce test cible l’ARNm, détectant la présence et l’activité des infections HPV à haut risque. Il détecte l’ARNm des gènes oncogènes E6/E7, soit les infections HPV les plus susceptibles d’entraîner un cancer du col de l’utérus.
Une étude française, présentée en octobre 2018 lors du congrès annuel des néphrologues (SFNDT, Lille) semble montrer que la nature du dialysat peut avoir un impact sur la santé des patients hémodialysés. Le dialysat, soit le liquide mis en contact avec le sang dans le générateur de dialyse, n’est pas considéré comme un médicament, mais bien comme un dispositif médical.
Selon ces travaux, le dialysat au citrate, utilisé chez 15 000 patients environ (30 % des 47 000 patients dialysés en France), pourrait faire augmenter le risque de mortalité par rapport au dialysat à l’acétate. Si l’ANSM ne retire pas ce produit dans l’immédiat, une réunion des parties prenantes* a statué pour la mise en place de travaux complémentaires pour confirmer ou non ces conclusions et pour les préciser.
* : INSERM, associations de patients Renaloo et France Rein, professionnels de santé Fondation du Rein, Société francophone de néphrologie dialyse et transplantation (SFNDT), Club des jeunes néphrologues (CJN), Agence de la biomédecine (ABM) et Agence nationale du médicament et des produits de santé (ANSM).
Ce non-respect des règles déontologiques de l’institution a conduit l’organisme à abroger cette recommandation.
En effet, la HAS a pris connaissance, sur la base de données transparence-santé alimentée par les déclarations des entreprises, de l’existence de liens qui n’avaient pas été renseignés par certains experts dans leur déclaration publique d’intérêts.
Elle a également été informée qu’une plainte pour prise illégale d’intérêts avait été déposée contre eux.
Si la justice pénale devra déterminer avec précision s’il y a eu des omissions volontaires, la distorsion d’informations présentes dans les DPI et sur la base transparence-santé entraîne un doute sur l’impartialité des experts. Un nouveau travail devrait être initié au plus vite.
L’immunothérapie a changé la donne dans plusieurs cancers de mauvais pronostic, grâce à une 1ère génération d’anticorps d’immunothérapie, les inhibiteurs de points de contrôle immunitaire, capables de régénérer les défenses immunitaires. Pour cela, ils agissent sur des points de contrôle stratégiques, sorte de « freins moléculaires » des lymphocytes T pour éviter une suractivité du système immunitaire. Dans le cas d’un cancer, la tumeur détourne ce processus à son avantage, déclenchant l’arrêt total du fonctionnement des lymphocytes T.
Schématiquement, en empêchant la tumeur d’agir sur ces points de contrôle, l’immunothérapie rétablit le fonctionnement naturel des lymphocytes T. Si les bénéfices cliniques de ces traitements sont spectaculaires, cette 1ère génération d’immunothérapie ne fonctionne que chez 20 % des patients sans que l’on sache pourquoi.
Chercheurs, cliniciens et industriels travaillent désormais conjointement sur ces résistances. La stratégie vise à mobiliser simultanément d’autres points de contrôle de la réponse immunitaire et d’autres lymphocytes tueurs mais aussi à combiner les immunothérapies, entre elles ou avec d’autres traitements.
Dans cette nouvelle étude, les chercheurs ont démontré le potentiel prometteur d’un nouvel anticorps : le monalizumab. Celui-ci peut neutraliser directement un point de contrôle très important exprimé conjointement à la surface des cellules NK de l’immunité innée et des lymphocytes T de l’immunité adaptative : NKG2A. Monalizumab restaure ainsi simultanément l’action des deux immunités.
Chez la souris, les scientifiques ont alors démontré qu’utilisé en combinaison avec une immunothérapie de 1ère génération, monalizumab améliore les résultats des traitements. En effet, il potentialise l’action de l’anticorps durvalumab qui cible un mécanisme d’inhibition complémentaire de celui de NKG2A : la voie PD1/PDL1. Le taux de survie observé passe ainsi de 40 % à 60 %.
Chez l’Homme, lors d’un essai clinique de phase 2, monalizumab stimule l’un des mécanismes d’action du cetuximab, le traitement de référence des patients atteints d’un cancer de la tête et du cou : l’évolution du cancer est stoppée chez 25 % des patients traités, contre 13 % lorsque cetuximab est utilisé seul. « En actionnant simultanément les mécanismes d’inhibition et d’activation des cellules NK nous sommes parvenus à augmenter significativement l’efficacité du meilleur standard de traitement disponible sans générer de nouveaux effets secondaires » se félicite Eric Vivier.
Pour les chercheurs, il s’agit de l’identification du premier inhibiteur de points de contrôle immunitaire à large spectre qui est capable non seulement d’avoir sa propre action sur les cellules cancéreuses mais qui potentialise également l’action d’autres traitements.
Alors que les Nations Unies ont annoncé un plan pour éradiquer la tuberculose d’ici 2030, une nouvelle étude démontre l’émergence de souches multirésistantes de cette maladie, non détectées par les tests approuvés par l’OMS. Ces travaux d’une équipe internationale codirigée par Philip Supply (CNRS/Inserm/Institut Pasteur de Lille/Université de Lille), publiés dans The Lancet Infectious Diseases (1) font écho à un autre article paru dans The New England Journal of Medicine (2), proposant un nouvel algorithme de détection de résistances de souches de tuberculose.
Le 26 septembre dernier, les Nations Unies ont convenu de lever 13 milliards de dollars annuels afin d’éradiquer la tuberculose d’ici 2030. En 2017, plus de 450 000 nouveaux cas de tuberculose multirésistante aux antibiotiques sont apparus, dont seulement 25 % ont été détectés.
Soulignant la gravité de ce problème de sous-détection, notamment en Afrique du Sud, cette nouvelle étude montre que des souches de Mycobacterium tuberculosis isolées dans ce pays portent une combinaison particulière de mutations les rendant résistantes notamment aux deux antibiotiques principaux prescrits en première intention, la rifampicine et l’isoniazide. Or, la région génétique portant une mutation singulière de résistance à la rifampicine n’est pas couverte par le test ADN, et la résistance au traitement associée n’est pas repérée par le test de culture.
Cette non-détection entraîne des traitements de première intention inefficaces chez les patients, une mortalité et une contagion accrues, et l’acquisition de résistances additionnelles à d’autres antibiotiques. Les chercheurs ont notamment détecté la présence de mutations probables de résistance à la bédaquiline, la molécule la plus récente pour traiter les tuberculoses multirésistantes, apparues juste après le début de son utilisation dans le pays en 2013.
Cette découverte a été réalisée notamment grâce à un nouveau test de dépistage de multirésistance de la bactérie, développé par Genoscreen avec la collaboration de P. Supply. Contrairement au test ADN standard, il cible un large panel de gènes de la bactérie et identifie des résistances à plus d’une dizaine d’antibiotiques. Ces résultats peuvent être obtenus en seulement 1 à 3 jours.
Il bénéficiera d’un nouvel algorithme de détection de mutations de résistance, publié dans le New England Journal of Medicine, sur la base de l’analyse de 10 000 génomes, soit l’un des plus grands projets de séquençage d’ADN bactérien réalisés à ce jour.
Après un infarctus du myocarde, les patients survivants sont à risque de nouvel évènement cardiovasculaire et ce risque est proportionnel au taux résiduel de « mauvais » cholestérol LDL, même chez les patients recevant un traitement intensif par statines.
L’essai Odyssey outcomes coordonné par le Professeur Philippe Gabriel Steg du département de cardiologie de l’hôpital Bichat AP-HP et de l’université Paris Diderot/USPC, a été mené auprès de 18 924 patients dans plus de 50 pays avec le réseau FACT – French Alliance for Cardiovascular Trials labellisé par F-CRIN (Inserm) et le Dr G. Schwartz de l’University of Colorado School of Medicine.
Les résultats montrent, après un suivi moyen de 2,8 ans, une réduction du risque d’évènement cardiovasculaire d’environ 15 % chez les patients traités par alirocumab ainsi qu’une mortalité plus basse.
Ces résultats suggèrent que l’injection de cet inhibiteur de PCSK9 pourrait contribuer à améliorer le pronostic de ces patients à risque.
Cette nouvelle classe médicamenteuse, les inhibiteurs de PCSK9, est capable d’abaisser de plus de 50 % le taux résiduel de cholestérol LDL, en plus du traitement par statines. L’un de ces médicaments, l’alirocumab (Praluent®, Sanofi), a été testé dans le grand essai clinique randomisé en double aveugle contre placebo Odyssey outcomes, portant sur des patients ayant un cholestérol LDL supérieur à 70 mg/dL malgré un traitement maximal par statines.
Ces médicaments sont dérivés de la découverte par l’équipe du Pr Catherine Boileau de mutations du gène de PCSK9 associés à une hypercholestérolémie familiale. L’alirocumab est un anticorps monoclonal, le PCSK9 (proprotein convertase subtilisin-kexin type 9). Il agit sur les récepteurs du cholestérol qui attirent le cholestérol LDL et le détruisent.
Un groupe de patients d’au moins 40 ans et ayant été hospitalisé pour un accident cardiovasculaire a reçu l’alirocumab par injection et un deuxième groupe un placebo. Le groupe alirocumab présentait des taux plus bas de LDL en moyenne (40 à 66 mg/dL vs. 93 à 103 mg/dL).
En détails, une réduction des évènements cardiovasculaires majeurs a été constatée dans le groupe alirocumab par rapport au groupe placebo (903 vs. 1052 évènements, soit 9,5 % vs. 11,1 %). Les chercheurs ont également constaté que la mortalité a été plus basse dans le groupe traité (3,5 % vs. 4,1 %).
La tolérance du traitement a été très bonne sur la durée du suivi, avec en particulier aucun excès de risque de trouble cognitif, de diabète ou d’élévation de la glycémie. Cet essai suggère que l’addition d’un inhibiteur de PCSK9 par injection au traitement post infarctus par statines pourrait contribuer à améliorer le pronostic de ces patients, les seuls effets secondaires ayant été mineurs.
Cet essai a été financé par Sanofi et Régénéron, qui espèrent voir l’AMM du Praluent étendue à l’indication de réduction du risque d’événements cardiovasculaires majeurs.
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