iiiiiiiii | Juin 2015 | |
iiiiiiiii | ||
iiiiii | ||
– Dans le numéro 215 de Spectra Biologie –
Innovations |
INFORMATIQUE DE LABORATOIRE
Nouveau SH FORM 43 intégré au logiciel de validation des méthodes
Nouveau SH FORM 43 intégré au logiciel de validation des méthodes
La société Viskali ACC annonce l’intégration du nouveau SH FORM 43 » Formulaire de vérification (portée A) / validation (portée B) d’une méthode de biologie médicale » dans la version 5.0 du logiciel PLEVER » Logiciel de validation des méthodes « .
Les examens de biologie médicale peuvent être constitués d’une seule méthode/étape/processus (appelée » processus simple « ), ou de l’enchainement de plusieurs méthodes/étapes/sous-processus, faisant appel à des méthodes quantitatives et/ou qualitatives.
Le logiciel PLEVER est une solution informatique développée par la société Viskali ACC pour vérifier les performances annoncées par le fabricant ou souhaitées par le laboratoire lors de la mise en application dans son laboratoire du couple analyseur / réactif afin d’apporter la confirmation et les preuves de la validité des résultats rendus par rapport à ces besoins et aux attentes des clients.
Ce logiciel permet la création de plusieurs dossiers de vérification / validation à partir de la même interface en couvrant l’ensemble des calculs et mesures de performance conformément aux préconisations des SH GTA 04 et 14 avec génération au format Word des dossiers au format SH FORM 43 exigés par le Cofrac. Les données expérimentales provenant d’analyseurs ou de middlewares peuvent être intégrées automatiquement.
VISKALI ACC propose aussi, sur site ou à distance, des prestations d’aide à la réalisation des dossiers de vérification / validation des méthodes.
INFORMATIQUE DE LABORATOIRE
Convergence des logiciels : de la microbiologie au CRB
Convergence des logiciels : de la microbiologie au CRB
L’éditeur Technidata a fait converger ses logiciels TD-Bactilink et TD-Biobank, respectivement dédiés à la gestion des laboratoires de microbiologie et des Centres de Ressources Biologiques (CRB).
Le logiciel TD-Bactilink permet de concevoir des workflows adaptés aux spécificités de la microbiologie, avec une gestion sans papier et une traçabilité exhaustive. Il inclut également un module d’épidémiologie complet. Forte de cette expertise métier, et par ailleurs de son savoir-faire dans le domaine des CRB, Technidata a intégré à ce logiciel la gestion intégrée de souchothèques.
L’outil TD-Biobank valorise les ressources biologiques stockées dans les souchothèques, par exemple via les fiches d’annotations clinico-biologiques. Il offre une traçabilité complète et optimise la préparation, le stockage des échantillons, la gestion des protocoles de recherche, la constitution de collections, le suivi des cessions, ou l’édition de catalogues virtuels. Des atouts pour les CRB et laboratoires qui visent la certification NFS 96–900 ou l’accréditation ISO 15189.
Dorénavant, TD-Biobank permet non seulement de gérer la souchothèque de TD-Bactilink, mais aussi les ressources biologiques des autres disciplines ou laboratoires, sur un ou plusieurs sites.
INFORMATIQUE DE LABORATOIRE
Surveiller sa consommation en énergies via Internet
Surveiller sa consommation en énergies via Internet
Les entreprises du secteur de la santé souhaitent améliorer la maîtrise de leurs consommations énergétiques, pour des raisons économiques mais également pour diminuer leur impact environnemental. Pour ce faire, JRI, spécialiste depuis 170 ans des systèmes de traçabilité de mesures, dote sa solution SiriusWeb d’un système permettant de surveiller la consommation des énergies.
En plus de sa fonction de suivi en temps réel des températures, SiriusWeb permet désormais de surveiller les consommations d’eau, de gaz et d’électricité. Les capteurs sont installés sur les compteurs respectifs et sont reliés aux enregistreurs SPY RF qui enregistrent les mesures et les transmettent à la SiriusBox par radiofréquence. Les mesures sont alors envoyées à la plateforme Internet SiriusWeb. Le système permet de consulter rapidement sur un tableau de bord très visuel, l’état des consommations par poste énergétique, de fixer des objectifs et de comparer la consommation avec celle de la semaine précédente, du mois précédent et de l’année précédente.
Le système permet également de fixer des valeurs seuils : en cas de dépassement de ces valeurs, une alerte est envoyée par email, voire par SMS ou appel vocal en cas de surconsommation excessive.
MICROBIOLOGIE
Analyse microbienne rapide par l’ID Plus Performance
Analyse microbienne rapide par l’ID Plus Performance
Le nouveau spectromètre de masse ID Plus Performance de Shimadzu, assure l’identification microbienne en 1 à 2 minutes seulement. De plus, il permet d’obtenir les caractéristiques structurales des microorganismes, permettant entre autres, la détection de souches bactériennes résistantes aux médicaments.
L’émergence d’entérobactéries multi-résistantes produisant des bêta-lactamases (BLSE) est une problématique de santé publique mondiale. En effet les BLSE confèrent une résistance aux antibiotiques utilisés en première intention contre les infections bactériennes. Certaines métallo-ß-lactamases, endémiques, ont peu d’options de traitement. Elles nécessitent une détection rapide et efficace afin d’adopter les thérapies adaptées.
L’ID Plus permet une analyse rapide et peu coûteuse des pathogènes. La note d’application en page 72 illustre comment l’ID Plus identifie les bactéries résistantes aux antibiotiques et médicaments par la détection d’enzymes induisant cette résistance, ou d’un plasmide portant un gène de résistance.
L’ID Plus Performance permet :
– la détection des marqueurs de résistance dans les souches bactériennes,
– la différenciation des souches résistantes par le génotype et le phénotype,
– l’évaluation des mécanismes de résistance pour la recherche et le diagnostic.
– la détection des marqueurs de résistance dans les souches bactériennes,
– la différenciation des souches résistantes par le génotype et le phénotype,
– l’évaluation des mécanismes de résistance pour la recherche et le diagnostic.
MICROBIOLOGIE
Automatisation du dépistage de la syphilis
Automatisation du dépistage de la syphilis
Poursuivant sa stratégie de croissance sur le marché du diagnostic médical, la société Eurobio a signé un accord de distribution exclusive sur le territoire français avec la société américaine Gold Standard Diagnostics, dans le cadre de l’automatisation du dépistage de la syphilis.
Avec l’AIX1000, la société française se donne les moyens d’apporter une solution totalement automatisée (connexion bidirectionnelle) pour l’analyse VDRL (RPR) en vue de l’accréditation des laboratoires d’analyses médicales.
L’AIX1000, première plateforme automatisée pour l’analyse VDRL, permet le dépistage de 100 échantillons en seulement 45 minutes. Avec une capacité de 192 échantillons, il est muni :
– d’un lecteur de codes à barres pour la prise en charge sécurisée du tube primaire,
– d’un shaker intégré,
– d’une caméra permettant la capture d’images (résultats) grâce à un rétro-éclairage (LED),
– d’un logiciel intuitif composé de 3 programmes : dépistage, titrage faible ou titrage fort.
– d’un lecteur de codes à barres pour la prise en charge sécurisée du tube primaire,
– d’un shaker intégré,
– d’une caméra permettant la capture d’images (résultats) grâce à un rétro-éclairage (LED),
– d’un logiciel intuitif composé de 3 programmes : dépistage, titrage faible ou titrage fort.
Gold Standard Diagnostics, société basée en Californie, développe, produit et commercialise des solutions dédiées au diagnostic in vitro pour la microbiologie clinique depuis plus de 10 ans.
MICROBIOLOGIE
Nouvelle gamme de PCR en temps réel multiplexe
Nouvelle gamme de PCR en temps réel multiplexe
Fort du succès de la gamme Seegene Anyplex IITM avec les produits AnyplexTM II RV16 (Détection simultanée de 16 virus respiratoires) et AnyplexTM II HPV28 (Dépistage et typage simultanés de 28 HPV), la société Eurobio propose sa nouvelle gamme Seegene AllplexTM Virus respiratoires et virus/bactéries gastro-intestinaux.
Qu’il s’agisse d’un dépistage sur un prélèvement respiratoire ou sur un échantillon de selles, la gamme AllplexTM Seegene permet la détection simultanée et en temps réel de 26 pathogènes en 4 tubes. Elle répond à la demande croissante des laboratoires de disposer de techniques plus rapides et plus efficaces en un minimum de temps.
Eurobio, société dynamique et innovante, élargit ainsi son offre pour apporter davantage de solutions aux professionnels de santé dans le domaine de la biologie moléculaire. Basée aux Ulis, elle produit et distribue des gammes complètes de réactifs dédiés principalement aux laboratoires de microbiologie, d’immunologie et d’anatomopathologie. Eurobio est actuellement un acteur majeur dans le domaine de la biologie moléculaire à travers ses produits propres, les produits Seegene et les produits Focus Diagnostics.
Pour sa part, Seegene, société privée basée en Corée, développe et fabrique des solutions multiplexes uniques en PCR en temps réel dédiées au diagnostic médical. Les technologies qu’elle emploie font l’objet de Brevets permettant à Seegene de revendiquer une exclusivité technique.
Actualités |
VIE DES SOCIETES
Acquisition, fusion et augmentation de capital : Biosynex prend un nouveau départ
Acquisition, fusion et augmentation de capital : Biosynex prend un nouveau départ
Dans le prolongement de l’annonce de rapprochement, le 23 avril 2015, les conseils d’administration de Biosynex et de Prodiag, réunis fin avril, ont approuvé le principe d’une fusion par absorption de Prodiag par Biosynex.
Le rapprochement avec Prodiag, Groupe de Distribution dans l’industrie du diagnostic médical, pourrait permettre à la nouvelle entité d’atteindre rapidement une taille critique qui en ferait un acteur majeur dans le domaine de l’auto surveillance et du diagnostic rapide.
Ceci permettrait à Biosynex :
– d’intégrer la distribution dans sa chaîne de valeur et d’élargir sa présence à des circuits de distribution complémentaires,
– d’étoffer en France et à l’international son offre de tests de diagnostic rapides avec des gammes additionnelles positionnées sur des marchés en forte croissance (test d’auto-mesure, biologie moléculaire).
– d’intégrer la distribution dans sa chaîne de valeur et d’élargir sa présence à des circuits de distribution complémentaires,
– d’étoffer en France et à l’international son offre de tests de diagnostic rapides avec des gammes additionnelles positionnées sur des marchés en forte croissance (test d’auto-mesure, biologie moléculaire).
La complémentarité des activités (principalement logistique, marketing et de distribution pour Prodiag et de R&D et de production pour Biosynex) devrait permettre une intégration verticale de savoirs qui ferait du nouveau groupe, un ensemble performant de la conception et du développement de produits innovants jusqu’à la commercialisation multi circuit d’un portefeuille étendu de produits.
La mise en commun de moyens et de compétences dans de nombreux domaines (financier, administratif, juridique, comptable, ressources humaines, logistique, règlementaire) pourrait parallèlement générer des économies d’échelle significatives. Enfin, la proximité géographique immédiate des deux structures qui ont déjà des relations commerciales fortes devrait favoriser une intégration rapide et efficace des structures.
Cette opération devrait ainsi aider la société à infléchir la courbe, après deux années de perte d’exploitation, en partie dues à la restructuration de la filiale allemande. Le second semestre de 2014 a déjà montré un redémarrage du chiffre d’affaires, grâce au recentrage des activités sur le siège de Strasbourg.
La fusion-absorption est soumise à la réalisation de la seule condition suspensive visée dans le projet de traité de fusion, en l’espèce, l’approbation de l’opération par les assemblées générales extraordinaires des actionnaires des deux sociétés, qui se réuniront le 24 juin 2015.
La parité de fusion serait de 1 action Biosynex pour 4 actions Prodiag. En rémunération de l’apport et compte-tenu de ce rapport d’échange, Biosynex procèderait à une émission de 3 750 000 actions, pour un montant de 15 750 000 euros. La cotation de Biosynex sur Alternext serait maintenue et les titres émis en rémunération de l’acquisition de Prodiag seront immédiatement assimilés aux anciennes actions Biosynex et seront admis aux négociations sur la même ligne de cotation.
VIE DES SOCIETES
Micromedic : bientôt un test de la récidive du cancer de la vessie
Micromedic : bientôt un test de la récidive du cancer de la vessie
Micromedic Technologies Ltd., a présenté les résultats d’une étude clinique multicentrique en aveugle utilisant la technologie non invasive CellDetect® destinée à diagnostiquer la récidive du cancer de la vessie chez les patients présentant des antécédents de cette maladie. Ce test a permis d’identifier des cellules cancéreuses dans des échantillons d’urine, avec une sensibilité déclarée de 84,4 % et une spécificité de 82,7 % pour le critère d’évaluation principal de l’étude. Cette étude clinique en aveugle a été menée dans neuf centres médicaux, où ont été analysés des échantillons d’urine prélevés sur 217 sujets présentant des antécédents de cancer de la vessie. La population de l’étude comprenait 121 sujets sains et 96 patients souffrant actuellement de cette maladie.
Les résultats du test urinaire CellDetect® ont été comparés avec ceux d’une biopsie ou, à défaut, d’une cystoscopie. Les résultats indiquent également que la valeur prédictive négative (VPN) était de 98,5 %. Outre sa grande sensibilité aux tumeurs avancées et aux degrés élevés de malignité, le test a également présenté une grande sensibilité aux tumeurs précoces et aux degrés faibles de malignité, difficiles à identifier à l’aide d’autres tests non invasifs actuellement disponibles sur le marché.
Le critère d’évaluation secondaire a montré que la sensibilité des autres tests non invasifs de comparaison s’élevait à 50,0 % pour la cytologie urinaire, 68,8 % pour le BTA stat et 17,4 % pour le NMP22 BladderCheck. Ces résultats indiquent que le procédé est suffisamment sensible pour détecter de manière précise et précoce la récidive de la maladie.
Compte tenu des bons résultats de l’étude, la société prévoit d’obtenir une approbation de certification CE pour le lancement européen de ce test non invasif dans le courant de l’année, ainsi que de soumettre une demande préalable d’exemption pour un instrument de recherche à la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis.
VIE DES SOCIETES
Un laboratoire de métrologie itinérant accrédité Cofrac
Un laboratoire de métrologie itinérant accrédité Cofrac
Soucieux de répondre aux besoins des biologistes, qui sont contraints par la réglementation d’effectuer l’étalonnage Cofrac de leurs sondes de température, JRI lance le Lab’express. Premier laboratoire de métrologie itinérant accrédité Cofrac en Europe, le Lab’express se déplace chez le client pour réaliser sur site différentes prestations métrologiques.
Ce laboratoire de métrologie est accrédité Cofrac pour l’étalonnage et la vérification en température de – 80 °C à + 140 °C et au point – 196 °C en laboratoire, et de – 90 °C à + 140 °C sur site (Accréditation N°2. 1943). C’est dans le domaine de mesure sur site que le Lab’express effectue les prestations d’étalonnage en deux points minimum sur les sondes numériques et analogiques de toutes marques. Les meilleures incertitudes d’étalonnages effectués à bord du Lab’express sont parmi les plus restreintes : 0,20 °C de – 90 °C à – 20 °C, et 0,08 °C de – 20 °C à + 140 °C.
Le Lab’express propose également la réalisation de cartographies des enceintes thermostatiques, dans le cadre de son accréditation Cofrac pour l’essai de caractérisation et de vérification selon les normes FD X 15140, NF EN 60068 et FDV 08 601 et des bains-marie sur la plage de température de – 80 °C à + 140 °C (Accréditation N°1. 2471).
Chaque intervention du Lab’express est planifiée à l’aide d’un cahier des charges listant le matériel du client, les prestations souhaitées et les points d’étalonnage à réaliser. Puis, un métrologue et un technicien JRI se déplacent sur site, à bord du Lab’express.
Les étalonnages de sondes et les caractérisations d’enceintes peuvent être réalisés simultanément lors d’une même intervention, permettant ainsi d’optimiser le coût et le temps des prestations métrologiques.
Le Lab’express intervient sur site, en toute autonomie. Les prestations métrologiques sont réalisées à bord du camion dans un environnement maîtrisé. La rapidité d’exécution des opérations permet, en outre, de limiter le temps d’immobilisation des équipements du laboratoire. De plus, JRI s’engage à envoyer les rapports sous 5 jours ouvrés.
Dans le cadre de l’utilisation du système de surveillance Sirius, développé par JRI, le maintien en condition opérationnelle de la solution est proposé conjointement avec les prestations métrologiques, facilitant ainsi la gestion métrologique de l’ensemble des équipements.
VIE DES SOCIETES
Roche et PrimaDiag associés pour automatiser la capture de séquence
Roche et PrimaDiag associés pour automatiser la capture de séquence
Roche Diagnostics France et PrimaDiag ont annoncé avoir conclu un accord de copromotion visant à proposer une solution d’automatisation pour la gamme de capture de séquences NimbleGen de Roche associée à la plateforme ACSIA NGSCaptureEdition de PrimaDiag.
Cette solution d’automatisation sur la plateforme ACSIA NGSCaptureEdition est possible pour tous les produits de capture de séquences de la gamme NimbleGen SeqCap Enrichment System (EZ, Epi, RNA) et de préparation de banques d’échantillons. L’automatisation assure une très grande flexibilité à l’utilisateur en lui permettant la capture de 1 à 48 échantillons lors du process. Elle lui permet aussi d’augmenter la productivité tout en diminuant la quantité de réactifs et de consommables utilisés lors des étapes du protocole. L’automatisation de la capture de séquences diminue les risques d’erreur lors de la manipulation des tubes de réactifs, tout en augmentant la reproductibilité inter-échantillons. Le débit est ainsi augmenté et les coûts de séquençage sont diminués.
Grâce à cette collaboration, cette solution complète et performante permettra aux clients de bénéficier d’un workflow flexible et simplifié.
PROFESSION
Conditions permettant à des biologistes médicaux hospitaliers d’être évaluateurs pour le Cofrac
Conditions permettant à des biologistes médicaux hospitaliers d’être évaluateurs pour le Cofrac
La note d’information DGS/DGOS du 26 octobre 2014 relative aux conditions permettant à des biologistes médicaux hospitaliers d’être évaluateurs pour le Cofrac expose plusieurs possibilités pour permettre tant aux PU-PH, MCU-PH ou PH temps plein qu’aux praticiens à temps partiel ou non complet d’exercer les fonctions d’évaluateur en biologie médicale dans le cadre de la mission du Cofrac.
Suite aux interrogations soulevées par la mise en œuvre de cette note, il est donné quelques précisions complémentaires :
1°) La première, qui est réservée aux PU-PH, aux MCU-PH et aux PH temps plein, est d’exercer cette activité dans le cadre des demi-journées d’intérêt général dans les conditions fixées par l’article R. 6152–30 du CSP et par l’article 11 du décret n° 82–1149 pour les personnels enseignants et hospitaliers. En effet, le Cofrac est une association loi 1901 à but non lucratif investie d’une délégation de service public et l’activité envisagée d’évaluateur exercée dans ce cadre est pleinement compatible avec l’activité d’intérêt général.
Certes, cet article du CSP prévoit qu’une convention entre l’établissement de santé et le Cofrac doit définir les conditions d’exercice et de rémunération de cette activité et prévoir le remboursement des émoluments versés par l’établissement de santé, mais il prévoit également que cette activité peut donner lieu à rémunération établie par la convention et qui est soit versée directement à l’évaluateur, soit à l’établissement qui la rétrocède à l’évaluateur.
2°) La seconde, qui ne concerne que les praticiens à temps partiel, est d’exercer les fonctions d’évaluateur pour tout ou partie de leur temps non hospitalier. Ils peuvent, dans ce cas :
• être salariés du Cofrac (CDD ou contrat de mission) ;
• percevoir une rétribution dans le cadre d’un contrat de prestation ;
• être rémunérés par une société de portage salarial prévu par l’article L. 1251–64 du code du travail qui précise que » Le portage salarial est un ensemble de relations contractuelles organisées entre une entreprise de portage, une personne portée et des entreprises clientes comportant pour la personne portée le régime du salariat et la rémunération de sa prestation chez le client par l’entreprise de portage. Il garantit les droits de la personne portée sur son apport de clientèle. »
• exercer cette activité en tant qu’auto-entrepreneur en dehors de leur temps hospitalier.
• être salariés du Cofrac (CDD ou contrat de mission) ;
• percevoir une rétribution dans le cadre d’un contrat de prestation ;
• être rémunérés par une société de portage salarial prévu par l’article L. 1251–64 du code du travail qui précise que » Le portage salarial est un ensemble de relations contractuelles organisées entre une entreprise de portage, une personne portée et des entreprises clientes comportant pour la personne portée le régime du salariat et la rémunération de sa prestation chez le client par l’entreprise de portage. Il garantit les droits de la personne portée sur son apport de clientèle. »
• exercer cette activité en tant qu’auto-entrepreneur en dehors de leur temps hospitalier.
3°) Pour l’ensemble des praticiens biologistes, une troisième solution consiste à exercer cette activité dans le cadre d’un cumul autorisé dans le cadre du décret du 2 mai 2007 pris pour l’application de l’article 25 de la loi du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires et rendu applicable aux praticiens visés à l’article L. 6152–1 du CSP par l’article L. 6152–4 du même code. Ce cumul est réalisé pendant les congés ou les RTT en aucun cas sur le temps de travail (contrairement aux 2 demi-journées d’intérêt général).
S’agissant d’une activité d’expertise, elle peut effectivement être considérée comme une activité à caractère accessoire et être autorisée par le chef d’établissement, qu’elle soit rémunérée par des honoraires ou sur facture si le praticien choisit de le faire dans le cadre d’une auto-entreprise créée à cette fin.
4°) Pour répondre enfin plus spécifiquement à la question portant sur la possibilité de réaliser des évaluations sur les congés, rien ne s’y oppose, comme l’explique le point 3°), mais le praticien ne sera effectivement pas couvert par la législation sur les accidents du travail applicable à son employeur. Une assurance spécifique sera nécessaire et à mentionner dans le contrat passé avec le Cofrac (lequel pourrait la prendre en charge, les frais de déplacement sont d’ailleurs également à la charge du Cofrac).
En revanche, la mise à disposition de praticiens hospitaliers auprès du Cofrac ne serait pas conforme aux dispositions de l’article R. 6152–50 qui ne prévoit celle-ci qu’auprès » d’un établissement mentionné à l’article R. 6152–1, d’une administration ou d’un établissement public de l’Etat, d’une collectivité territoriale ou d’un établissement public en dépendant, d’un groupement d’intérêt public entrant dans l’un des cas prévus à l’article L. 6134–1 ou d’un groupement de coopération sanitaire, groupement de coopération sociale et médico-sociale ou d’une fondation hospitalière dont est membre leur établissement d’affectation « .
Il existe ainsi autant de solutions que de situations, ce qui doit permettre à tous les biologistes qui désirent intervenir comme évaluateur des pratiques de LBM de le faire dans une position correspondant à leur statut.
PROFESSION
Nouveau bureau pour la FNSIP-BM
Nouveau bureau pour la FNSIP-BM
A l’occasion du congrès de la Fédération Nationale des Syndicats d’Internes en Pharmacie et Biologie Médicale (FNSIP-BM) qui s’est tenu à Marseille les 22 et 23 mai, le nouveau bureau national a été élu à l’unanimité par le conseil d’administration. Fort des avancées obtenues depuis plusieurs années, le conseil d’administration a décidé de reconduire une co-présidence. Ce sont Emmanuel Cirot, interne en Pharmacie Hospitalière à Tours, Eugénie Duroyon, interne en Biologie Médicale à Montpellier et leur bureau de 13 internes, issus de différentes villes et hôpitaux de France, qui succèdent à Thomas Riquier, Mickaël Fortun et leur équipe.
Le bureau sortant a été très chaleureusement félicité pour son bilan au cours de l’assemblée générale. Les nouveaux élus tenteront de s’inscrire dans sa continuité, en promouvant la même vision de l’avenir axée sur la réponse aux problématiques de santé publique, sur la qualité de la formation des internes ainsi que la défense de leurs intérêts. Le nouveau bureau aura à cœur d’être vigilant quant à l’application des décrets, qu’il s’agisse des conditions de travail des internes, du taux d’inadéquation à 107 % ou encore de la loi de santé.
D’autres chantiers restent en cours, notamment la réforme du troisième cycle des études médicales, mais aussi la mise en place des Groupements Hospitaliers de Territoire (G.H.T.) et le redécoupage des subdivisions qui concerneront les internes de toutes les spécialités. La nouvelle équipe poursuivra et complétera les enquêtes et rapports menés sur l’évolution souhaitable des D.E.S. ou sur l’accès à la recherche hospitalo-universitaire.
Le nouveau bureau de la FNSIP-BM est ainsi composé de :
– Co-présidents : Emmanuel Cirot (Pharmacie Hospitalière (PHPR), Tours) ; Eugénie Duroyon (Biologie Médicale, Montpellier)
– Secrétaire général : Jérémie Zerbit (Pharmacie Hospitalière (PHPR), Paris)
– Trésorier : Christel Hosselet (Pharmacie Hospitalière (PHPR), Amiens)
– Vice-présidents Biologie Médicale : Julien Monier (Biologie Médicale, Montpellier) ; Alice Fournier (Biologie Médicale, Marseille)
– Vice-président Pharmacie option PHPR : Chloé Duran (Pharmacie Hospitalière (PHPR), Montpellier)
– Vice-président Pharmacie option PIBM : Alexandre Drezet (Pharmacie Hospitalière (PIBM), Marseille)
– Vice-président Innovation Pharmaceutique et Recherche : Jérôme Ory (Innovation Pharmaceutique et Recherche, Clermont-Ferrand)
– Vice-président Relations Universitaires : Evariste Delande (Pharmacie Hospitalière (PHPR), Marseille)
– Vice-présidents Relations Internationales : Marie Lenski (Biologie Médicale, Amiens) ; Clément Delage (Pharmacie Hospitalière (PHPR), Paris)
– Vice-présidente Partenariats : Delphine Heurté (Pharmacie Hospitalière (PHPR), Marseille)
– Vice-président Communication : Julien Ecart (Biologie Médicale, Bordeaux)
– Chargé de Mission – Biologie Médicale : Samuel Amintas (Biologie Médicale, Bordeaux)
– Co-présidents : Emmanuel Cirot (Pharmacie Hospitalière (PHPR), Tours) ; Eugénie Duroyon (Biologie Médicale, Montpellier)
– Secrétaire général : Jérémie Zerbit (Pharmacie Hospitalière (PHPR), Paris)
– Trésorier : Christel Hosselet (Pharmacie Hospitalière (PHPR), Amiens)
– Vice-présidents Biologie Médicale : Julien Monier (Biologie Médicale, Montpellier) ; Alice Fournier (Biologie Médicale, Marseille)
– Vice-président Pharmacie option PHPR : Chloé Duran (Pharmacie Hospitalière (PHPR), Montpellier)
– Vice-président Pharmacie option PIBM : Alexandre Drezet (Pharmacie Hospitalière (PIBM), Marseille)
– Vice-président Innovation Pharmaceutique et Recherche : Jérôme Ory (Innovation Pharmaceutique et Recherche, Clermont-Ferrand)
– Vice-président Relations Universitaires : Evariste Delande (Pharmacie Hospitalière (PHPR), Marseille)
– Vice-présidents Relations Internationales : Marie Lenski (Biologie Médicale, Amiens) ; Clément Delage (Pharmacie Hospitalière (PHPR), Paris)
– Vice-présidente Partenariats : Delphine Heurté (Pharmacie Hospitalière (PHPR), Marseille)
– Vice-président Communication : Julien Ecart (Biologie Médicale, Bordeaux)
– Chargé de Mission – Biologie Médicale : Samuel Amintas (Biologie Médicale, Bordeaux)
PROFESSION
La recherche publique française grimpe les podiums
La recherche publique française grimpe les podiums
L’Inserm, secondé par sa filiale Inserm Transfert, progresse encore dans le classement des déposants français de brevets établi par l’Office européen des brevets (OEB). En 2014, l’institut se positionne comme le 6e déposant français (toutes organisations et tous secteurs confondus), le 4e déposant européen dans le secteur » Biotechnologie » et le 5e déposant européen dans le secteur » Pharmaceutiques « .
Toujours selon ce classement, 227 demandes de brevets ont été déposées au nom de l’Inserm, confortant sa position par rapport aux années précédentes de premier organisme académique européen en recherche biomédicale. Au plan français, l’Inserm gagne cinq places par rapport au classement OEB 2012 (11e position en 2012, 6e place cette année).
» Ce classement reflète une stratégie de recherche innovante dont la protection est l’une des pièces maîtresses pour favoriser son transfert industriel au bénéfice des patients et de la société « , se félicite Yves Lévy, PDG de l’Inserm.
A l’heure actuelle, l’Inserm détient un portefeuille de brevets de 1279 familles de brevets (+ 102 % depuis 2006). Inserm Transfert, qui est en charge de la stratégie de la propriété intellectuelle de l’Inserm, de la gestion et de la commercialisation du portefeuille a rédigé et déposé en 2014 plus de 50 % des demandes de brevets et licencié 26,5 % du portefeuille auprès de partenaires industriels français et mondiaux (grands groupes industriels en santé, ETI, PME ou start-ups).
» Le portefeuille très diversifié de l’Inserm, qui couvre les grands domaines pathologiques avec des applications en diagnostic et développement thérapeutique, constitue un vivier d’opportunités pour les partenaires industriels à des stades précoces de l’innovation. Ceci explique en grande partie la position actuelle de l’Inserm dans le classement de l’OEB « , commente Pascale Augé, Présidente du Directoire d’Inserm Transfert.
D’autre part, cette annonce fait suite aux résultats de l’appel » ERC Consolidator grant 2014 « , rendus en mars dernier par le Conseil européen de la recherche (ERC). Cette récompense s’adresse aux chercheurs d’excellence ayant entre 7 à 12 ans d’expérience après leur thèse. Au total, toutes disciplines confondues, ce sont 372 projets qui ont été sélectionnés, parmi lesquels 53 sont hébergés par la France, qui se place en 3e position derrière le Royaume-Uni (86 projets) et l’Allemagne (66 projets) et devant l’Espagne (32 projets). 25 des lauréats français ont choisi le CNRS comme institution d’accueil, plaçant l’organisme en tête de cet appel, devant l’université de Cambridge (12 lauréats) et l’University College London (9 lauréats). Les lauréats se voient attribuer, en moyenne, une bourse de 2 millions d’euros pour une période de 5 ans.
SCIENCES
Une tribu d’Amazonie naturellement antibiorésistante ?
Une tribu d’Amazonie naturellement antibiorésistante ?
Les Yanomami, des habitants de la forêt amazonienne n’ayant quasiment jamais été en contact avec d’autres peuples, ont pourtant réservé une surprise de taille aux scientifiques : une résistance aux antibiotiques 30 fois plus importante que la moyenne.
En 2009, une équipe médicale dirigée par Maria Dominguez-Bello, microbiologiste de l’université de New York a prélevé sur 34 des 54 membres du village des échantillons de salive, de selles et de peau. L’analyse montra un microbiote bien plus varié que celui des communautés géographiquement proches de cette population, et même deux fois plus diversifié que celui observé dans un groupe témoin d’Américains. » Une demi-douzaine de gènes pouvaient même inactiver des médicaments modernes » notent les chercheurs.
» Ce résultat n’est pas surprenant puisque la variété du microbiome diminue lorsque l’on mange de la nourriture industrielle, lorsque l’on prend des antibiotiques, ou encore lorsque l’on se lave les mains avec du gel antibactérien « , expliquent les auteurs de l’étude.
Aucun cas d’obésité ou de malnutrition n’a par ailleurs été observé parmi les membres de la tribu, qui se nourrit de poissons, de grenouilles, d’insectes, de bananes et d’une boisson au melon fermenté. Alors même qu’ils n’ont jamais pris d’antibiotiques ou mangé d’animaux élevés aux médicaments, ces membres de la tribu des Yanomami ont des gènes 30 fois plus résistants aux antibiotiques que la moyenne traditionnellement observée.
» C’est une preuve de plus que la résistance aux antibiotiques est une caractéristique naturelle du microbiome humain, mais qu’il est prêt à être activé et amplifié pour une plus grande résistance après avoir utilisé des antibiotiques « , explique l’un des auteurs, cité par Le Télégramme. Selon les hypothèses des chercheurs, les bactéries intestinales des Yanomami auraient évolué de manière à lutter contre un grand nombre de toxines auxquelles ils sont exposés dans leur environnement, et dont la structure moléculaire est semblable à celle des antibiotiques de la médecine occidentale.
Pour Christina Warinner, anthropologue de l’Université d’Oklahoma (Etats-Unis), citée dans la revue Science, cette découverte » suggère que la résistance aux antibiotiques est ancienne, diverse et étonnamment répandue dans la nature « . » Cette étude souligne le besoin de développer la recherche vers de nouveaux antibiotiques « , concluent les auteurs, sans quoi » nous allons perdre la bataille contre les maladies infectieuses. «
SCIENCES
Cancer du foie : de nouveaux gènes identifiés
Cancer du foie : de nouveaux gènes identifiés
Créé en 2008, le consortium international de génomique du cancer (ICGC) rassemble des chercheurs du monde entier pour analyser de manière approfondie 50 types ou sous-types de tumeurs cancéreuses et mettre très rapidement les résultats obtenus à la disposition de l’ensemble de la communauté scientifique.
L’INCa et l’ITMO Cancer d’Aviesan assurent la coordination et le soutien de la participation française à ce programme portant entre autres sur les cancers du sein, de la prostate et du foie. Sur ce dernier point, Jessica Zucman-Rossi, directrice de recherche Inserm (UMR 1162), pilote ce projet portant en particulier sur les carcinomes hépatocellulaires (CHC), la 2e cause de mortalité par cancer dans le monde. Par des techniques de séquençage à haut débit, son équipe s’est focalisée sur les cancers liés à la consommation excessive d’alcool et à l’obésité, pour identifier les mutations et les réarrangements impliqués dans la genèse, la progression et la résistance de la maladie.
Ils ont montré, d’une part, l’existence d’un lien entre l’exposition à des facteurs de risque des individus au cours de leur vie (alcool, tabac, toxique alimentaire) et les mutations de l’ADN observées dans les tumeurs ; d’autre part, que chaque tumeur est le résultat d’une combinaison unique d’altérations touchant en moyenne une quarantaine de gènes. La complexité de cette diversité génétique explique en grande partie les phénomènes de résistance aux traitements actuels. Cependant, l’établissement de ce nouveau catalogue de gènes permet d’identifier dans près d’un cas sur 3 une altération génétique qui pourrait être ciblée par un médicament anti-tumoral. L’efficacité de ces médicaments prescrits en fonction des altérations du génome devra être démontrée dans des essais thérapeutiques de nouvelle génération dits » genome based clinical trial » qui constitueront la base du futur projet international ICGC2.
Enfin, ces études ont permis d’identifier les premières mutations à l’origine de la transformation maligne des cellules du foie : des mutations du promoteur de TERT, codant pour la télomérase. Cette observation devrait pouvoir améliorer le diagnostic précoce et détecter les malades les plus à risque de développer un cancer du foie.
Ce travail, coordonné et financé par l’INCa, a été réalisé en collaboration étroite avec l’Inserm et a bénéficié de nombreux soutiens scientifiques, institutionnels et associatifs. L’ensemble du séquençage à haut débit a été réalisé par la société IntegraGen (Evry).
Egalement dans Spectra Biologie n° 215 |
-
POINT SURDispositifs d’aide à la recherche et à l’innovation : rendre la France plus compétitiveRomain GOUMENT, Philippe Lê, Arsia AMIR-ASLANI
-
POINT SURLes différentes modalités de coopération dans le cadre de la biologie médicaleRodolphe RAYSSAC
-
QUALITEDépistage prénatal de la trisomie 21 : étude des corrélations entre deux analyseurs, le Modular E170 et le cobas e 411 (Roche Diagnostics)Antoine LAUDAT, Catherine BERTHELOT, Ludivine CAUQUI, Catherine CUCU, Laurence BURC-STRUXIANO
-
QUALITEEvaluation des risques et mise en conformité avec la version 2012 de la norme EN ISO 15189 : expérience du LBM BilliemazFadil NIMANBEG, Véronique LEMARQUIS
-
CAS BIOCLINIQUEEpanchement pleural révélateur d’un myélome multiple chez un jeune de 28 ansSanae BOUHSAIN, Asmae BIAZ, Abdellah DAMI, Samira ELMECHTANI, Anass BENALI, Hicham SOUHI, Ismail Abderrahmani RHORFI, Hanane ELOUAZZANI, Ahmed ABID, Zohra OUZZIF
-
LABORATOIRE PRATIQUEVibrio et gastroentérites : vigilance et bonnes pratiquesMarie-Laure QUILICI, Annick ROBERT-PILLOT
-
FICHE D’APPLICATIONAnalyse des résistances des bactéries aux antibiotiques et médicaments avec l’ID Plus PerformanceEmmanuel WEY, Thierry LEGOUPIL
Pour recevoir notre revue dans son intégralité, rendez-vous sur notre site,
pour découvrir nos offres d’abonnement au format presse ou au format électronique.
pour découvrir nos offres d’abonnement au format presse ou au format électronique.
Manifestations |
>> EuroMedLab-JIB 2015 Satellite Meeting – 6e Symposium International “Biologie d’urgence et gaz du sang”
18–19 juin 2015 – VERSAILLES
>> Journée du Collège de bactériologie, virologie, hygiène des Hôpitaux
19 juin 2015 – PARIS, Institut Mutualiste Montsouris
>> EuroMedLab-JIB 2015 – 21st IFCC-EFLM European Congress of Clinical Chemistry and Laboratory Medicine
21–25 juin 2015 – PARIS, Palais des Congrès
>> Journées Internationales de Biologie
22–24 juin 2015 – PARIS, Palais des Congrès
>> EuroMedLab-JIB 2015 Satellite Meeting – State of the art in the biology of trace elements and vitamins
26 juin 2015 – PARIS
>> EuroMedLab-JIB 2015 Satellite Meeting – HbA1c and management of Diabetes Mellitus in the 21st Century
26 juin 2015 – REIMS
>> 27e Congrès de la SFTS (Société Française de Transfusion Sanguine)
15–17 septembre 2015 – MONTPELLIER
>> 3e Congrès CORATA Belgique
23–24 septembre 2015 – BEAUNE
>> Colloque du Syndicat National des Biologistes des Hôpitaux (SNBH)
23–25 septembre 2015 – NANTES
>> 20es Journées d’études et de formation de l’AFIB (Ingénierie Biomédicale)
28–30 septembre 2015 – MONTPELLIER
>> Eurothrombosis 2015
1–3 octobre 2015 – COME, Italie
>> Biotechnica 2015
6–8 octobre 2015 – HANOVRE, Allemagne
>> Congrès GEHT COMETH
7–9 octobre 2015 – GRENOBLE
>> Cold Chain Forum
13–14 octobre 2015 – PARIS
>> RARE 2015 : rencontres Eurobiomed des maladies rares
26–27 novembre 2015 – MONTPELLIER
>> 49es Journées de Biologie Praticienne
4–5 décembre 2015 – PARIS, Maison de la Chimie
>> 35e RICAI
14–15 décembre 2015 – PARIS, Palais des Congrès
La Newsletter Spectra Biologie est une publication des Editions PCI
176, rue du Temple – 75003 Paris
Tél. : 01 44 59 38 38 – Fax : 01 44 59 38 39