– Dans le numéro 208 de Spec­tra Biolo­gie –

puce Inno­va­tions
BIOCHIMIE
Kit de dosage Ostéo­cal­cine

Test ST AIA-PACK Osteocalcin de Tosoh

Tosoh Bios­cience complète son panel méta­bo­lisme osseux (PTH, Vit. D) par le lance­ment du test ST AIA-PACK Osteo­cal­cin. Ce test peut être réalisé sur tous les auto­mates de la gamme AIA sur des échan­tillons plasma ou sérum EDTA.
Le prin­cipe du test unitaire et le large choix de cadences des auto­mates AIA, de 36 à 200 tests/heure, permet la gestion de tous les volumes de test.
Comme pour les autres tests AIA la cali­bra­tion est stable 90 jours et les résul­tats sont obte­nus en 20 minutes.
Le ST AIA-PACK Osteo­cal­cin présente de bonnes perfor­mances analy­tiques de par son domaine de mesure et son dosage quasi-équi­mo­laire de l’os­téo­cal­cine intacte (1–49) et du frag­ment N termi­nal 1–43.
En conclu­sion, les carac­té­ris­tiques du ST AIA-PACK Osteo­cal­cin et des auto­mates AIA font de cette analyse de spécia­lité un para­mètre faci­le­ment inté­grable en routine au labo­ra­toire.

HEMOSTASE
Surveillance de l’apixa­ban cali­brée et contrô­lée
Les STA®-Apixa­ban Cali­bra­tor et STA®-Apixa­ban Control sont les dernières inno­va­tions de la gamme Anti­coa­gu­lants de la société Stago. Ils s’uti­lisent en combi­nai­son avec le réac­tif STA®-Liquid Anti-Xa, pour permettre la mesure de la concen­tra­tion plas­ma­tique de l’apixa­ban.
Présen­tés sous forme lyophi­li­sée, le cali­bra­teur et le contrôle de la mesure Anti-Xa restent stables à bord respec­ti­ve­ment pendant 4 et 8 heures. Le contrôle est égale­ment stabi­lisé entre 2 et 8 °C pendant 7 jours.
Cette méthode de mesure Anti-Xa spéci­fique béné­fi­cie d’une large zone de mesure – de 20 à 500 ng/mL – et d’une grande sensi­bi­lité en zone basse. Complè­te­ment auto­ma­ti­sée, elle offre une grande faci­lité d’uti­li­sa­tion et four­nit des résul­tats fiables en moins de 6 minutes, expri­més en ng/mL. Ce test a démon­tré une excel­lente corré­la­tion avec la méthode de réfé­rence LCMS. La société Stago a conçu le réac­tif Anti-Xa pour être simple d’uti­li­sa­tion : liquide, prêt à l’em­ploi, il se présente sous la forme de flacons avec codes à barres.

HEMOSTASE
Contrôle des dosages de D-Dimères
Le dosage des D-Dimères est essen­tiel pour les labo­ra­toires d’hé­mo­stase : les résul­tats jouent un rôle déci­sif dans le diagnos­tic d’ex­clu­sion de la Mala­die Throm­boem­bo­lique Veineuse (MTEV). Parce que la garan­tie de résul­tats patients est primor­diale, les Contrôles Internes de Qualité (CIQ) D-Dimères assurent la véri­fi­ca­tion conti­nue des perfor­mances du couple instru­ment-réac­tif via l’éva­lua­tion de la préci­sion, la détec­tion rapide des anoma­lies et le suivi de la cohé­rence des résul­tats.
La société Stago propose un système de dosage fiable, rapide et entiè­re­ment auto­ma­tisé avec le STA®-Liatest® D-Di Plus et les STA®-D-Di Control.
Les nouveaux CIQ STA®-D-Di Control répondent aux recom­man­da­tions inter­na­tio­nales rela­tives aux contrôles de qualité (chapitre 5.6.1 de la norme ISO 15189 :2007). Les deux contrôles sont titrés à des niveaux adap­tés de la zone de mesure, respec­ti­ve­ment à envi­ron 0,75 µg/mL FEU et 2,30 µg/mL FEU.
Pour s’adap­ter à une acti­vité quoti­dienne, ces contrôles liquides sont prêts à l’em­ploi pour un gain de temps et une prati­ca­bi­lité opti­mi­sés et pour éviter les erreurs liées aux étapes de recons­ti­tu­tion manuelles. Leur stabi­lité est éten­due : 72 h à bord des auto­mates STA-R® et STA Compact®, 15 jours après ouver­ture et conser­va­tion à 2–8 °C.
Les flacons de 2 mL permettent plusieurs contrôles par jour sur le même flacon.
Les données sont auto­ma­tique­ment rensei­gnées grâce au système barcodé : allo­ca­tion auto­ma­tique des four­chettes four­nis­seur garan­tis­sant la sécu­rité du système, gestion opti­male des volumes, stabi­lité, dates d’ex­pi­ra­tion, numé­ros de lots.

MICROBIOLOGIE
Une offre complète pour le diagnos­tic des levures

Elichrom fungi d'ELITech

Les cham­pi­gnons levu­ri­formes (levures) sont respon­sables de mycoses, clas­sées en deux groupes bien distincts : les mycoses super­fi­cielles et les mycoses profondes (ou systé­miques).
Les aspects cliniques des mycoses sont nombreux et variés et diffèrent par leurs loca­li­sa­tions, leur gravité et les espèces en cause. L’iden­ti­fi­ca­tion de l’es­pèce ainsi que la déter­mi­na­tion de la sensi­bi­lité aux anti­fon­giques sont essen­tielles afin d’orien­ter au mieux le choix théra­peu­tique.
Afin de répondre préci­sé­ment aux attentes des labo­ra­toires, ELITech France propose une gamme complète de gale­ries pour l’iden­ti­fi­ca­tion des prin­ci­pales levures patho­gènes, la déter­mi­na­tion de la sensi­bi­lité aux anti­fon­giques et égale­ment un test exclu­sif 2-en-1, alliant iden­ti­fi­ca­tion et test de sensi­bi­lité sur une même gale­rie, permet­tant ainsi de réduire consi­dé­ra­ble­ment le coût au test et le temps de mani­pu­la­tion.

MICROBIOLOGIE
Milieu d’en­ri­chis­se­ment pour l’iso­la­tion des salmo­nelles fécales

Bouillon Selenite d'ELITech

Le Bouillon Sélé­nite est un milieu d’en­ri­chis­se­ment pour l’iso­la­tion des salmo­nelles à partir d’échan­tillons de selles. Origi­nel­le­ment déve­loppé par Leif­son, le bouillon Sélé­nite est depuis long­temps utilisé pour la récu­pé­ra­tion sélec­tive des salmo­nelles, avec inhi­bi­tion d’autres micro-orga­nismes enté­riques comme E. coli et les strep­to­coques fécaux.
L’écou­villon Fecal Trans­wab® (milieu Cary Blair) est dédié au trans­port et à la conser­va­tion des enté­ro­bac­té­ries dans les échan­tillons fécaux, et permet une conser­va­tion des enté­ro­bac­té­ries pendant mini­mum 48 h à tempé­ra­ture ambiante ou à 4–8 °C (norme M40 qui garan­tit la conser­va­tion des germes).
L’écou­villon du Fecal Trans­wab® peut être direc­te­ment trans­féré dans le tube Bouillon Sélé­nite. L’as­so­cia­tion du Fecal Trans­wab® et du Bouillon Sélé­nite permet donc de béné­fi­cier d’une solu­tion complète pour le recueil et l’en­ri­chis­se­ment des salmo­nelles.
ELITech France propose ainsi une gamme complète d’écou­villons et de tubes de prélè­ve­ment adap­tables sur tous les ense­men­ceurs auto­ma­tiques du marché.

MICROBIOLOGIE
Trousses de l’EBV entiè­re­ment auto­ma­ti­sées
Immu­no­dia­gnos­tic Systems Holdings plc (IDS), l’un des leaders dans la fabri­ca­tion de tests spécia­li­sés et d’au­to­mates de spécia­lité, pour­suit ses efforts d’in­no­va­tion en annonçant aujourd’­hui la dispo­ni­bi­lité des marqueurs de l’EBV, entiè­re­ment auto­ma­ti­sés sur le système IDS-iSYS.
Le virus d’Ep­stein Bar (EBV) est un virus ubiqui­taire retrouvé chez 90 à 95 % de la popu­la­tion mondiale. Il est trans­mis par la salive, d’où une préco­cité de la primo-infec­tion dépen­dante des condi­tions socio-écono­miques et donc de l’hy­giène du pays des patients. Les enfants, les adoles­cents et les femmes enceintes sont les plus touchés par ce virus et ainsi les plus concer­nés par ces dosages.
IDS, qui déve­loppe des dosages haute­ment spécia­li­sés dans le domaine de l’hor­mo­no­lo­gie, l’en­do­cri­no­lo­gie et l’auto-immu­nité, intègre désor­mais dans son offre IDS-iSYS, une gamme de séro­lo­gie, dont les EBV et le HSV. La flexi­bi­lité analy­tique du système IDS-iSYS permet l’au­to­ma­ti­sa­tion d’un large panel de tests de spécia­lité dans plusieurs domaines d’in­ves­ti­ga­tion.
Ainsi, les dosages de routine, EBV VCA IgM, EBV VCA IgG, EBNA IgG et EA IgG, sont main­te­nant dispo­nibles par méthode de chimi­lu­mi­nes­cence et les premiers résul­tats sont obte­nus en seule­ment 30 minutes.

MICROBIOLOGIE
Nouvelle réfé­rence pour la recherche rapide de Clos­tri­dium Diffi­cile

C. Difficile par Theradiag

Thera­diag pour­suit le déve­lop­pe­ment de sa gamme en diagnos­tic infec­tieux et lance trois nouvelles réfé­rences pour la recherche rapide du Clos­tri­dium Diffi­cile et de ses toxines dans les selles.
Cette nouvelle gamme de tests rapides recherche la GDH (Gluta­mate Déshy­dro­gé­nase) et iden­ti­fie les toxines A et B en deux cassettes sépa­rées ou grâce au combo rassem­blant les deux recherches sur une seule cassette.
En 10 minutes, cette gamme de tests rapides C. Diffi­cile permet le diagnos­tic de la GDH et des toxines A et B. La faci­lité d’em­ploi et les perfor­mances (VPN > 98 %) de cette gamme font de Thera­diag un nouveau parte­naire dans le diagnos­tic de Clos­tri­dium Diffi­cile.
Enfin, cette gamme de tests rapides se complète de l’offre multi­plexe X-TAG GPP (biolo­gie molé­cu­laire) qui recherche 19 patho­gènes bacté­riens, viraux et para­sites recon­nus comme prin­ci­paux respon­sables des gastro-enté­rites.
puce Actua­li­tés
VIE DES SOCIETES
Première acqui­si­tion stra­té­gique pour Diagast
Bruno MORINO, PDG de Diagast, a offi­cia­lisé l’ac­qui­si­tion d’ABO Diag, la société avec laquelle un parte­na­riat fruc­tueux exis­tait depuis 2012.
Start-up dédiée à la recherche et au déve­lop­pe­ment d’ou­tils diagnos­tiques dans le domaine de la trans­fu­sion sanguine et plus large­ment à l’im­muno-héma­to­lo­gie, ABO Diag a déve­loppé la tech­no­lo­gie Haem Trap® réso­lu­ment inno­va­trice, fiable et appor­tant une simpli­fi­ca­tion signi­fi­ca­tive des process. Cette tech­no­lo­gie reçut d’ailleurs le prix du jury à l’una­ni­mité aux Trophées de l’in­no­va­tion des JIB 2012. Sa première décli­nai­son est l’ABTest Card®, un contrôle ultime au lit du malade, déjà lancé sur le marché français.
La société basée à Martillac compte 8 sala­riés pour un chiffre d’af­faires de 200 000 euros. L’en­ver­gure de Diagast, filiale de l’EFS, lui permet­tra de béné­fi­cier des infra-struc­tures néces­saires au déve­lop­pe­ment de ses produits. Son fonda­teur Najim Chaibi conserve la direc­tion d’ABO Diag.
Trois socié­tés dont deux groupes améri­cains se sont posi­tion­nées pour acqué­rir la société giron­dine et sa tech­no­lo­gie. Diagast a su faire la diffé­rence, grâce à un vrai projet indus­triel basé sur un déve­lop­pe­ment tech­no­lo­gique mondial à travers des inves­tis­se­ments indus­triels régio­naux.
Le lillois Diagast ambi­tionne en effet de déve­lop­per de nouveaux produits basés sur cette tech­no­lo­gie breve­tée. Le busi­ness plan établi sur les cinq prochaines années préco­nise la mise en avant préfé­ren­tielle des produits issus de cette tech­no­lo­gie et prévoit logique­ment une augmen­ta­tion du chiffre d’af­faires de 30 millions d’eu­ros en 2013 à 50 millions d’eu­ros à l’ho­ri­zon 2018. En effet, Diagast voit en cette tech­no­lo­gie robuste et peu coûteuse un passe­port pour le marché des BRICS. En seconde étape, entre cinq et huit ans, Diagast espère décli­ner cette tech­no­lo­gie dans les domaines de la séro­lo­gie et de la viro­lo­gie.
Actuel­le­ment basée sur le Tech­no­pole Montesquieu de Bordeaux, ABO Diag devrait rece­voir cette année un demi-million d’eu­ros pour acqué­rir l’équi­pe­ment néces­saire à l’au­to­ma­ti­sa­tion des cartes de tests.

VIE DES SOCIETES
John­son & John­son a trouvé un repre­neur à Ortho Clini­cal Diagnos­tics
L’épi­logue s’est fait attendre, mais c’est bien le fond d’in­ves­tis­se­ment améri­cain Carlyle qui remporte la vente. Suite à la propo­si­tion ferme reçue en janvier dernier, John­son & John­son va céder sa branche diagnos­tic Ortho Clini­cal Diagnos­tics (OCD) pour 4,15 milliards de dollars – et non les 5 milliards espé­rés initia­le­ment par J&J selon une source proche du dossier relayée par Les Echos. La cession devrait être fina­li­sée très prochai­ne­ment. OCD précise que les repré­sen­tants des sala­riés ont été consul­tés avant que l’offre soit accep­tée.
Cet achat repré­sente un véri­table cas d’école de la situa­tion stra­té­gique et écono­mique des indus­triels de la santé aujourd’­hui. Il répond à la néces­sité des grands groupes de recen­trer leurs inves­tis­se­ments sur leurs pôles les plus compé­ti­tifs. Face aux géants du secteur, il ne s’agit plus de riva­li­ser mais de se spécia­li­ser dans des domaines à forte valeur ajou­tée. Quitte à céder des filiales pour­tant rentables, comme c’était le cas d’OCD qui a enre­gis­tré un chiffre d’af­faires de 2 milliards de dollars en 2012. D’autres préten­dants s’étaient d’ailleurs décla­rés : des fonds d’in­ves­tis­se­ment ou un géant du secteur, Dana­her. Mais le PDG du groupe J&J, Alex Gorsky, avait indiqué lors de l’an­nonce d’une vente possible d’OCD, que celle-ci n’oc­cu­pait ni la première, ni la deuxième posi­tion sur son marché, ce qui est le cas de beau­coup d’autres acti­vi­tés du groupe.
M. Gorsky a égale­ment annoncé qu’il comp­tait recen­trer ses acti­vi­tés sur les diagnos­tics de demain :  » les diagnos­tics molé­cu­laires, les marqueurs biolo­giques, d’autres choses sur lesquelles nous travaillons déjà avec certains de nos programmes en onco­lo­gie « . C’est d’ailleurs dans ces mêmes domaines que compte inves­tir Carlyle pour relan­cer OCD au niveau inter­na­tio­nal grâce à la R&D.

VIE DES SOCIETES
IQuum : Roche s’offre la biolo­gie molé­cu­laire en POC
Entre­prise privée spécia­li­sée dans le déve­lop­pe­ment de solu­tions de diagnos­tic molé­cu­laire au point de soins, IQuum vient d’être rache­tée par la société Roche pour une somme préli­mi­naire de 275 millions de dollars US. 175 millions supplé­men­taires seront rever­sés sous condi­tion de réali­sa­tion d’étapes déter­mi­nées liées aux produits.
L’amé­ri­cain, basé à Marl­bo­rough, Massa­chu­setts, offrira ainsi à Roche son système Labo­ra­tory-in-a-tube (LiatTM), qui permet d’ef­fec­tuer des tests de diagnos­tic molé­cu­laire rapides au point de soins, au plus proche du patient, avec une forma­tion mini­male. Selon IQuum, cet analy­seur ainsi que le premier test dédié à ce système, LiatTM Influenza A/B, four­ni­raient des résul­tats fiables et précis. Ils disposent d’un marquage CE et ont été homo­lo­gués par la FDA. Le test de détec­tion de l’In­fluenza, homo­lo­gué FDA en 2011, rend un résul­tat en 20 minutes envi­ron, après une mani­pu­la­tion de moins d’une minute de l’échan­tillon, et avec une spéci­fi­cité et une sensi­bi­lité au moins équi­va­lentes à celles déli­vrées en labo­ra­toire.
Selon IQuum, ses produits permettent au person­nel le moins expé­ri­menté d’ef­fec­tuer des tests de diagnos­tic molé­cu­laire sophis­tiqués dans n’im­porte quel contexte. Le système affine un diagnos­tic molé­cu­laire après trois étapes simples : la collecte de l’échan­tillon primaire – sang total, plasma, ou écou­villon – dans un tube LiatTM ; la lecture du code-barres du tube pour le relier au dossier patient ; et enfin l’in­ser­tion du tube dans le système. L’ana­ly­seur effec­tue auto­ma­tique­ment tous les proces­sus de dosage néces­saires, y compris la prépa­ra­tion des réac­tifs, la puri­fi­ca­tion des acides nucléiques, l’am­pli­fi­ca­tion et la détec­tion en temps réel, en 20 minutes à 1 heure, en fonc­tion du dosage demandé. La taille compacte de ce système (24,1 x 11,4 x 19 cm), sa faci­lité d’uti­li­sa­tion, son auto­ma­ti­sa­tion complète et son temps de réponse rapide en font un outil pratique pour les tests molé­cu­laires décen­tra­li­sés ou au chevet du patient.
Shuqi Chen, Ph.D., CEO et fonda­teur d’IQuum a déclaré :  » Nous sommes enthou­siastes à l’idée de conti­nuer à déve­lop­per des solu­tions de diagnos­tic molé­cu­laire inno­vantes au sein de l’équipe Roche Mole­cu­lar Diagnos­tics. Roche est l’en­tre­prise idéale pour hono­rer les promesses de notre tech­no­lo­gie de diagnos­tic molé­cu­laire au point de soins. Nous sommes plei­ne­ment enga­gés dans la pour­suite de la réus­site des colla­bo­ra­teurs, des produits et du porte­feuille d’IQuum. « 
Créée en 1998 par Shuqi Chen et Keith Green­field, l’en­tre­prise commer­cia­lise aujourd’­hui sa tech­no­lo­gie et ses produits LiatTM sur les marchés du diagnos­tic clinique, de la défense biolo­gique et des tests indus­triels. Une fois la tran­sac­tion abou­tie, IQuum sera inté­grée à Roche Mole­cu­lar Diagnos­tics.

VIE DES SOCIETES
CGM met le cap à l’ouest avec Vision4Health
La société CompuG­roup Medi­cal AG (CGM) a racheté en début d’an­née, et pour un montant resté confi­den­tiel, le groupe vision4­health Laufen­berg & Co., entre­prise leader et pion­nière en matière de solu­tions logi­cielles pour les labo­ra­toires et dans le domaine du diagnos­tic en Europe. Une étape de plus dans la conso­li­da­tion de cette société, créée à Mont­pel­lier en 1988 sous le nom d’Axi­log et rebap­ti­sée CompuG­roup Medi­cal Solu­tions en 2012. Deve­nue entre-temps une filiale du groupe alle­mand CompuG­roup Holding AG, l’un des leaders mondiaux des systèmes d’in­for­ma­tion de santé, la société avait égale­ment inté­grée, fin 2013, l’en­tre­prise Neurone R&D, renom­mée à cette occa­sion CompuG­roup Lab Solu­tions.
La société CompuG­roup Medi­cal a acquis tous les actifs essen­tiels et les parts sociales du Groupe vision4­health dont les sites se trouvent en Alle­magne, en Belgique et en France. Avec plus de 200 instal­la­tions partout en Europe, vision4­health est un four­nis­seur reconnu de systèmes d’in­for­ma­tion des labo­ra­toires, qui cible des clients de toute taille, hospi­ta­liers ou privés, parmi les plus impor­tants et les plus renom­més. Par cette dernière acqui­si­tion, CompuG­roup Medi­cal renforce consi­dé­ra­ble­ment sa posi­tion sur le marché des systèmes infor­ma­tiques des labo­ra­toires, et ouvre ainsi de nouvelles options stra­té­giques pour la mise en réseau des acteurs de la santé.
CompuG­roup rajoute donc à son porte­feuille produit les systèmes infor­ma­tiques  » molis  » et leur nouvelle géné­ra­tion  » molis vt « . En outre, le portail de diagnos­tic  » molis vt chan­nel  » est un compo­sant impor­tant pour les réseaux diagnos­tiques qui relient entre eux les cabi­nets médi­caux, les cliniques, les centres médi­caux et les labo­ra­toires.
L’objec­tif visé par ce rachat est égale­ment une expan­sion géogra­phique.  » En plus de nos acti­vi­tés déjà forte­ment posi­tion­nées en Scan­di­na­vie pour les systèmes de labo­ra­toire, nous voici établis à présent sur les marchés-clés euro­péens en tant que four­nis­seur leader pour l’in­for­ma­tique concer­nant les labo­ra­toires et le diagnos­tic. Avec les posi­tions établies sur le marché et les produits inno­vants de vision4­health, nous avons main­te­nant, entre autres avec nos systèmes d’in­for­ma­tion des méde­cins, la capa­cité End-to-End de relier entre eux les labo­ra­toires, les méde­cins et les hôpi­taux et de servir encore mieux nos clients  » a déclaré Frank Gotthardt, président de CompuG­roup Medi­cal AG.
Dans la foulée et confor­mé­ment à sa stra­té­gie, CGM a égale­ment fait l’ac­qui­si­tion des socié­tés Imagine Editions et Imagine Assis­tance, et leur logi­ciel HelloDo, ce qui devrait doubler sa part de marché en France dans le secteur des logi­ciels de gestion de cabi­net médi­caux.

VIE DES SOCIETES
I2A s’ouvre au monde et à d’autres marchés
La société i2a, née il y a vingt-cinq ans dans la pépi­nière Cap Alpha, change de stature. Jusqu’ici canton­née dans une acti­vité de niche, ce spécia­liste du diagnos­tic médi­cal propose désor­mais une offre globale permet­tant l’au­to­ma­ti­sa­tion complète d’un labo­ra­toire de bacté­rio­lo­gie. La démarche permet à i2a d’abor­der de nouveaux marchés tels que l’agroa­li­men­taire et de se déployer à l’échelle mondiale.
Amérique, Asie, Moyen-Orient… La société mont­pel­lié­raine s’ap­prête à prendre pied sur les prin­ci­paux marchés mondiaux. Une première filiale est en voie de consti­tu­tion aux Etats-Unis.
I2a a été créée en 1988 au sein de Cap Alpha, l’une des pépi­nières du BIC (Busi­ness and Inno­va­tion Centre) de Mont­pel­lier Agglo­mé­ra­tion, par trois élèves-ingé­nieurs de Poly­tech : Domi­nique Curel, Jean-Philippe Duvergé et Chris­tian Curel. L’en­tre­prise fabrique et commer­cia­lise des instru­ments, des logi­ciels et des réac­tifs desti­nés aux labo­ra­toires de micro­bio­lo­gie. Limi­tée jusqu’à présent au marché de la lecture auto­ma­tique d’an­ti­bio­grammes, elle a entre­pris il y a quatre ans de déve­lop­per une offre globale permet­tant l’au­to­ma­ti­sa­tion totale d’un labo­ra­toire de bacté­rio­lo­gie.  » Les contraintes régle­men­taires et budgé­taires amènent les labo­ra­toires à se regrou­per pour trai­ter des volumes de plus en plus impor­tants « , explique Chris­tian Curel, direc­teur géné­ral.  » Cette évolu­tion, que nous avons anti­ci­pée, impose le recours à l’au­to­ma­ti­sa­tion. « 
La démarche ne vise plus seule­ment le secteur clinique mais égale­ment des marchés tels que l’agroa­li­men­taire, la cosmé­tique ou l’in­dus­trie phar­ma­ceu­tique. Elle sera déployée à l’échelle mondiale. La part du chiffre d’af­faires réalisé hors de France devrait ainsi passer de 20 à 80 % dans les cinq à six ans à venir. Une augmen­ta­tion de capi­tal de 1,5 million d’eu­ros a été réali­sée fin 2013 pour finan­cer cet effort. Une levée de fonds d’un montant équi­valent inter­vien­dra en 2014. I2a, qui a réalisé en 2012–2013 un chiffre d’af­faires de 6,3 millions d’eu­ros, prévoit de multi­plier ce chiffre par trois ou quatre dans les trois ans à venir. L’ef­fec­tif, de 70 sala­riés, devrait dépas­ser 100 personnes début 2016.
Lors de prochaines mani­fes­ta­tions, la société devrait présen­ter son offre nommée Reci­tals, une solu­tion d’au­to­ma­ti­sa­tion compo­sée des auto­mates Prelud, Maes­tro et SirS­can Auto­ma­tic. Le Prelud, à l’ori­gine conçu pour l’en­se­men­ce­ment auto­ma­tique des boîtes de culture et la prépa­ra­tion auto­ma­tique des anti­bio­grammes (ense­men­ce­ment et dépôt des disques) a été repensé pour en conce­voir une seconde version, dédiée à l’agroa­li­men­taire et adap­tée à l’en­se­men­ce­ment auto­ma­tique des boîtes de culture en surface et dans la masse, avec dilu­tions auto­ma­tiques.

PROFESSION
L’Afrique de l’Ouest mobi­li­sée
Les prin­ci­paux acteurs de la biolo­gie médi­cale du Réseau d’Afrique de l’Ouest des Labo­ra­toires d’Ana­lyses Biolo­giques (Resao­lab : Bénin, Burkina Faso, Guinée, Mali, Niger, Séné­gal, Togo) se sont réunis au Centre d’In­fec­tio­lo­gie Charles Mérieux de Bamako fin mai, en présence de repré­sen­tants de l’OMS Afrique et de l’OOAS (Orga­ni­sa­tion Ouest Afri­caine de la Santé).
Depuis le début de l’épi­dé­mie d’Ebola qui frappe la Guinée, les membres du réseau font un point quoti­dien sur son évolu­tion. Le rôle du labo­ra­toire est primor­dial en cas d’épi­dé­mie : préven­tion, infor­ma­tion et surveillance épidé­mio­lo­gique coor­don­née permettent de limi­ter la diffu­sion à d’autres pays. Cette expé­rience leur a permis de tirer les ensei­gne­ments de cette épidé­mie afin de renfor­cer leur colla­bo­ra­tion. Les discus­sions ont notam­ment porté sur les moyens à mettre en œuvre pour faci­li­ter la commu­ni­ca­tion, coor­don­ner la surveillance épidé­mio­lo­gique et élabo­rer des mesures de préven­tion concer­tées. Pendant la réunion, des ateliers régio­naux ont égale­ment été orga­ni­sés afin d’har­mo­ni­ser la poli­tique qualité et la forma­tion conti­nue et initiale du person­nel des labo­ra­toires dans cette zone.
Le réseau inter-pays Resao­lab a été initié par la Fonda­tion Mérieux en 2009 en colla­bo­ra­tion avec les ministres de la santé du Burkina Faso, du Mali et du Séné­gal. Les 4 autres pays les ont rejoints en 2013.
Le diagnos­tic est le domaine qui a le moins béné­fi­cié des aides multi­la­té­rales et de l’in­ves­tis­se­ment des gouver­ne­ments. Resao­lab est le premier programme régio­nal appor­tant une réponse à cette problé­ma­tique, selon 3 axes prio­ri­taires : la forma­tion initiale et conti­nue des person­nels des labo­ra­toires, la gestion de la qualité des analyses effec­tuées par les labo­ra­toires et l’ap­pui à la surveillance épidé­mio­lo­gique. Aujourd’­hui, dans les trois premiers pays, plus de 300 labo­ra­toires publics et privés font partie du réseau.

PROFESSION
62 % des infir­miers libé­raux victimes d’AES
Si les Acci­dents d’Ex­po­si­tion au Sang (AES) tendent à dimi­nuer en milieu hospi­ta­lier, l’ex­po­si­tion des profes­sion­nels libé­raux à ce risque demeure préoc­cu­pante. Selon une enquête menée auprès de 1870 infir­miers libé­raux, 62 % d’entre eux ont déjà été victimes d’un AES. Cette enquête FNI-GERES a été soute­nue par BD Diagnos­tics, en asso­cia­tion à l’ef­fort de sensi­bi­li­sa­tion entre­pris par la Fédé­ra­tion Natio­nale des Infir­miers (FNI) et le Groupe d’Etude sur le Risque d’Ex­po­si­tion des Soignants aux agents infec­tieux (GERES). L’enquête a été réali­sée via un ques­tion­naire mis en ligne sur le site inter­net de la FNI durant trois semaines d’oc­tobre à novembre 2013.
La trans­po­si­tion en droit français de la direc­tive 2010/32/UE4, au 1e septembre 2013, a marqué un tour­nant symbo­lique dans la lutte contre les AES. Pour­tant, les profes­sion­nels de santé expo­sés sont encore loin d’être égaux face à ces acci­dents évitables. Plus de la moitié des 30 000 décla­ra­tions d’AES annuelles effec­tuées dans les établis­se­ments de santé français sont faites par des infir­miers. Selon Gérard Pellis­sier, du GERES, le taux d’AES chez les infir­miers libé­raux serait près de 10 fois supé­rieur à celui de leurs confrères hospi­ta­liers. Les infir­mières libé­rales effec­tue­raient 3 à 4 fois plus de gestes inva­sifs que leurs homo­logues hospi­ta­lières, mais cela n’ex­plique pas tout.
Parmi les 62 % d’in­fir­miers libé­raux déjà victimes d’AES par piqûre d’ai­guille au cours de leur carrière, la moitié d’entre eux déclarent avoir eu cet acci­dent au cours de l’an­née écou­lée. A la suite d’un acci­dent, seules 19 % des infir­mières libé­rales ont consulté un méde­cin réfé­rent hospi­ta­lier, jugeant par elles-mêmes le risque minime ou nul. Elles sont 52 % à ne pas connaître la conduite à tenir en cas d’AES et 80 % jugent les infor­ma­tions dispo­nibles insuf­fi­santes ou inexis­tantes. Notons que 35 à 90 % déclarent ne jamais porter de gants ; 60 % disent utili­ser du maté­riel sécu­risé mais seule­ment 7 à 19 % l’uti­lise systé­ma­tique­ment.

SCIENCES
Un nouveau gène à risque éclaire la mala­die d’Alz­hei­mer
Une équipe de cher­cheurs inter­na­tio­naux a isolé un gène iden­ti­fié comme jouant un rôle causal dans le déve­lop­pe­ment de la mala­die d’Alz­hei­mer, puisqu’il affecte l’ac­cu­mu­la­tion de bêta-amyloïde en codant une protéine impor­tante pour le trans­port intra­cel­lu­laire. Le fait de pouvoir faire ressor­tir les facteurs contri­bu­tifs de la mala­die, qu’ils soient géné­tiques ou envi­ron­ne­men­taux, a toujours été un défi pour les cher­cheurs sur la mala­die d’Alz­hei­mer.  » Alzhei­mer est une mala­die multi­fac­to­rielle où une accu­mu­la­tion de problèmes subtils peut se déve­lop­per dans le système nerveux, sur une période de plusieurs décen­nies « , explique le Pr Michael Silver­man, de l’Uni­ver­sité Simon Fraser (Canada), qui a travaillé sur cette étude avec une équipe de scien­ti­fiques japo­nais diri­gée par le Pr Taka­shi Mori­hara de l’Uni­ver­sité d’Osaka.
L’iden­ti­fi­ca­tion de ces contri­bu­tions géné­tiques subtiles, mais peut-être critiques, est diffi­cile car de nombreux facteurs envi­ron­ne­men­taux et de mode de vie contri­buent égale­ment à la mala­die.
Cette percée dans la recherche sur la mala­die d’Alz­hei­mer pour­rait ouvrir de nouvelles pistes pour la concep­tion de produits théra­peu­tiques et ouvrir la voie à la détec­tion précoce, en aidant les profes­sion­nels de la santé à iden­ti­fier ceux qui sont prédis­po­sés à cette mala­die.  » Il est possible qu’un test géné­tique pour une variante parti­cu­lière de ce gène nouvel­le­ment décou­vert, avec d’autres variantes de gènes qui contri­buent à la mala­die d’Alz­hei­mer, puisse contri­buer à donner à une personne leur risque global d’avoir cette mala­die. L’évo­lu­tion des modes de vie, comme l’amé­lio­ra­tion de l’ali­men­ta­tion, l’exer­cice et une augmen­ta­tion de la stimu­la­tion cogni­tive pour­raient alors aider à ralen­tir la progres­sion de la mala­die d’Alz­hei­mer chez les personnes ayant ce risque « , conclut le Pr Silver­man.

SCIENCES
Une bacté­rie du micro­biote protège le gros intes­tin d’une inflam­ma­tion
Le micro­biote contri­bue de façon cruciale à notre santé via notre déve­lop­pe­ment, notre méta­bo­lisme, notre immu­ni­té… mais par des méca­nismes souvent incon­nus. Des cher­cheurs de l’Unité Inserm 892 (Nantes Angers) viennent d’iden­ti­fier un des méca­nismes par lesquels le micro­biote permet à notre système immu­ni­taire de préve­nir l’in­flam­ma­tion du gros intes­tin.
Les cher­cheurs ont iden­ti­fié une popu­la­tion de lympho­cytes T régu­la­teurs jusque-là incon­nue chez l’homme – bapti­sés DP8a – et démon­tré que leur déve­lop­pe­ment est induit par une bacté­rie du micro­biote intes­ti­nal : Faeca­li­bac­te­rium praus­nit­zii. Des études avaient déjà révélé la fréquence anor­ma­le­ment basse de cette bacté­rie dans la flore fécale des patients atteints de mala­dies inflam­ma­toires du tube diges­tif. Dans cette étude, les lympho­cytes DP8a spéci­fiques de cette bacté­rie sont eux-mêmes dimi­nués chez ces patients, dans la muqueuse colique et le sang.
 » Les résul­tats indiquent que cette popu­la­tion de lympho­cytes joue un rôle majeur pour préser­ver le gros intes­tin d’une inflam­ma­tion. Nous avons ainsi iden­ti­fié, pour la première fois chez l’homme, un méca­nisme par lequel une bacté­rie du micro­biote contri­bue à l’équi­libre de la muqueuse qui l’hé­berge  » explique F. Jote­reau, co-auteur de ces travaux.
Ces résul­tats ouvrent la voie au déve­lop­pe­ment de marqueurs et de théra­pies inno­vantes pour la préven­tion et le trai­te­ment des mala­dies inflam­ma­toires du tube diges­tif via la restau­ra­tion de l’ac­ti­vité anti-inflam­ma­toire des lympho­cytes Treg DP8a chez les patients.
 » Ces résul­tats vont égale­ment permettre de recher­cher le rôle de ces lympho­cytes T régu­la­teurs dans le contrôle d’autres patho­lo­gies telles que les aller­gies, ou les mala­dies infec­tieuses chro­niques mais aussi de mieux comprendre l’im­pact du micro­biote sur le système immu­ni­taire « , a-t-elle conclu.
puce Egale­ment dans Spec­tra Biolo­gie n° 208
  • UN POINT SUR
    Les Biosi­mi­laires (part. I) : Enjeux et Oppor­tu­ni­tés
    Julien DELAUNAY, Arsia AMIR-ASLANI
    Voir l’ar­ti­cle…

 

  • UN POINT SUR
    Les Biosi­mi­laires (part. II) : un modèle écono­mique alter­na­tif pour les biotech­no­lo­gies et propice pour la France
    Arsia AMIR-ASLANI, Thomas LACOMBE, Bruno MEGARBANE
    Voir l’ar­ti­cle…

 

  • BIODEBAT
    La Tropo­nine de haute sensi­bi­lité au cœur du dialogue Clini­ciens Biolo­gistes
    Delphine COLLIN-CHAVAGNAC, Eric BONNEFOY, Guillaume LEFEVRE, Patrick RAY, Gaspard BEAUNE
    Voir l’ar­ti­cle…

 

  • MISE A JOUR DES CONNAISSANCES
    Les anti­vi­ta­mines K : pres­crip­tion, surveillance et problèmes pratiques
    Jean-François SCHVED, Pauline SAUGUET, Chris­tine BIRON-ANDRÉANI
    Voir l’ar­ti­cle…

 

  • TECHNOLOGIE APPLIQUEE
    Mise en place de la mesure de l’ac­ti­vité du facteur VIII par méthode chro­mo­gé­nique au labo­ra­toire d’hé­mo­stase de l’Eta­blis­se­ment Français du Sang de Besançon.
    Compa­rai­son avec la méthode chro­no­mé­trique en un temps
    Eve PORET, Guillaume MOUREY
    Voir l’ar­ti­cle…

 

  • QUALITE
    Iden­ti­fier les maillons faibles de la chaîne trans­fu­sion­nelle : partage d’ex­pé­rience de l’As­sis­tance Publique Hôpi­taux de Marseille
    Bernard LASSALE, Martine BESSE-MOREAU
    Voir l’ar­ti­cle…

 

Pour rece­voir notre revue dans son inté­gra­lité, rendez-vous sur notre site,
pour décou­vrir nos offres d’abon­ne­ment au format presse ou au format élec­tro­nique.
puce Mani­fes­ta­tions
>> 34e Jour­née Normande de Biolo­gie Clinique
19 juin – SAINT-GATIEN DES BOIS


>> Colloque du GEAI  » Actua­li­tés autoan­ti­corps « 
19–20 juin – PARIS, Insti­tut Pasteur


>> XIII Inter­na­tio­nal Congress of Pedia­tric Lab. Medi­cine
20–22 juin – ISTANBUL, Turquie


>> IFCC – WorldLab 2014 – 21st Inter­na­tio­nal Congress of Clini­cal Chemis­try and Labo­ra­tory Medi­cine
22–26 juin – ISTANBUL, Turquie


>> Congrès de la Société Française du Cancer
24–25 juin – PARIS, Palais des Congrès


>>  20e Confé­rence inter­na­tio­nale de Spec­tro­mé­trie de Masse (IMSC)
24–29 août – GENEVE, Suisse


>> FEBS EMBO PARIS 2014 : Fédé­ra­tion of Euro­pean Bioche­mi­cal Socie­ties, EMBO et la SFBBM (Société Française de biochi­mie et de biolo­gie molé­cu­laire)
30 août-4 septembre – PARIS, Palais des Congrès


>> Jour­nées de biolo­gie de Marseille
11–12 septembre – MARSEILLE


>> GEHT COMETH
24–26 septembre – ROUEN


>> 7th Santo­rini Confe­rence « Systems Medi­cine Perso­na­li­zed Health and Therapy »
25–27 septembre – SANTORIN, Grèce


>> 59e JIB 2014
8–10 octobre – PARIS, CNIT La Défense

La News­let­ter Spec­tra Biolo­gie est une publi­ca­tion des Editions PCI

176, rue du Temple – 75003 Paris

Tél. : 01 44 59 38 38 – Fax : 01 44 59 38 39

www.pcipresse.com/spec­tra­bio­lo­giepci@p­ci­presse.com