– Dans le numéro 200 de Spec­tra Biolo­gie –

puce Inno­va­tions
ANALYSEURS/AUTOMATES Conso­li­da­tion sur tubes bouchés

PowerLink de Beckman Coulter

Beck­man Coul­ter présente Power Link, un nouveau système offrant aux labo­ra­toires la possi­bi­lité de combi­ner un analy­seur de biochi­mie AU680 à un analy­seur d’im­mu­noa­na­lyse DxI. Cette solu­tion assure le trai­te­ment, en paral­lèle, d’échan­tillons de biochi­mie et d’im­mu­noa­na­lyse à une cadence de 200 tubes par heure et a été spécia­le­ment conçue pour tous les labo­ra­toires recher­chant fiabi­lité et sécu­rité.Entre autres carac­té­ris­tiques, la fonc­tion d’as­sis­tance au redo­sage en ligne ratio­na­lise le flux de travail du labo­ra­toire. La gestion d’un tube unique apporte une meilleure gestion des flux de travail et limite les risques d’er­reurs. Ce nouveau système prend en charge tous types de tubes, diamètres et bouchons sur un même portoir pour une meilleure flexi­bi­lité. Enfin, le débou­cheur inté­gré mini­mise les risques biolo­giques et augmente le confort des utili­sa­teurs.

ANALYSEURS/AUTOMATES Auto­mate d’ex­trac­tion d’acides nucléiques ADN/ARN

ELITe STAR d'ELITech

Très prochai­ne­ment lancé par ELITech, l’ELITe STAR repré­sente une réelle inno­va­tion dans le domaine de l’ex­trac­tion auto­ma­ti­sée d’acides nucléiques. En combi­nant une tech­no­lo­gie de pointe, une auto­ma­ti­sa­tion complète du proces­sus et une faci­lité d’uti­li­sa­tion, l’au­to­mate garan­tit au labo­ra­toire une méthode de travail rapide et stan­dar­di­sée. L’ELITe STAR permet d’ex­traire de 1 à 12 échan­tillons à partir de matrices cellu­laires et non cellu­laires. Il offre la possi­bi­lité d’ex­traire simul­ta­né­ment de l’ADN et de l’ARN.La sécu­rité des échan­tillons est garan­tie grâce à un char­ge­ment sur tube primaire et un lecteur code-barres inté­gré qui permet l’iden­ti­fi­ca­tion des échan­tillons et de tous les réac­tifs. L’ins­tru­ment propose tous les niveaux de traça­bi­lité et de sécu­rité (du prélè­ve­ment à l’ex­trait) exigés pour les acti­vi­tés diagnos­tiques.Enfin, l’ELITe STAR intègre un logi­ciel simple d’uti­li­sa­tion acces­sible grâce à l’écran tactile. De plus, il est connec­table au SIL. Auto­mate multi-échan­tillons s’adap­tant à la diver­sité des prélè­ve­ments, L’ELITe STAR sera dispo­nible en mai 2013.

ANALYSES Diagnos­tic auto­ma­tisé de l’al­coo­lisme chro­nique
La trans­fer­rine, qui permet le trans­port du fer dans l’or­ga­nisme, est le prin­ci­pal consti­tuant du pic bêta 1 dans une courbe stan­dard d’élec­tro­pho­rèse des protéines sériques. Sous sa forme prépon­dé­rante, elle possède des rési­dus d’acide sialique qui permettent de distin­guer plusieurs isoformes. Une consom­ma­tion exces­sive et chro­nique d’al­cool modi­fie la répar­ti­tion de ces isoformes en augmen­tant le taux des formes peu sialy­lées de la trans­fer­rine. La trans­fer­rine désia­ly­lée (CDT) est le nom commun des asialo, mono­sialo et disialo-trans­fer­rines.Conçu pour le système Helena Bios­ciences d’élec­tro­pho­rèse capil­laire V8, le kit de trans­fer­rine désia­ly­lée (CDT) permet de quan­ti­fier le pour­cen­tage de l’iso­forme disialo-trans­fer­rine, pour la recherche clinique et le suivi de la consom­ma­tion chro­nique et exces­sive d’al­cool (les valeurs de CDT infé­rieures à 1,62 % étant consi­dé­rées comme normales) dans le sérum humain. En plus de la détec­tion et de l’iden­ti­fi­ca­tion auto­ma­ti­sée des isoformes de trans­fer­rine, le V8 permet la sépa­ra­tion et la détec­tion des variants géné­tiques de la trans­fer­rine et des troubles congé­ni­taux de la glyco­sy­la­tion (CDG). Avec 8 résul­tats dispo­nibles en moins de 30 minutes, le V8 réduit le nombre d’ins­tru­ments néces­saires à cette analyse.

ANALYSES Détec­tion des « drogues Z »

Société inno­vante dans le domaine du diagnos­tic en toxi­co­lo­gie, Randox Toxi­co­logy a lancé trois nouveaux kits de test ELISA pour la détec­tion des médi­ca­ments séda­tifs zopi­clone, zolpi­dem et zale­plon. Ces médi­ca­ments psychoac­tifs simi­laires aux benzo­dia­zé­pines, tradi­tion­nel­le­ment utili­sés contre l’an­xiété et l’in­som­nie, sont soumis à pres­crip­tion (Lunesta, Ambien et Sonata) et ne doivent être utili­sés que sur une courte période. Mais, par dépen­dance ou pour une utili­sa­tion récréa­tive, l’abus de drogues Z est aujourd’­hui très répan­due.Randox Toxi­co­logy a déve­loppé trois kits ELISA pour la détec­tion de ces drogues dans des échan­tillons d’urine et de sang. Le test ELISA Zolpi­dem propose une limite de détec­tion très fine, de 0,4 ng/ml dans l’urine et 0,52 ng/ml dans le sang. Les kits ELISA Zale­plon et Zopi­clone sont les premières immu­noa­na­lyses dispo­nibles pour la détec­tion rapide de ces médi­ca­ments, aupa­ra­vant détec­tés par analyse chro­ma­to­gra­phique. Toxi­co­lo­gie Randox four­nit égale­ment le lecteur de plaque ELISA auto­ma­tisé, capable de lire 96 puits en 30 secondes. S’ajou­tant à ces kits, la société propose égale­ment une des biopuces multi­plex ciblant le zolpi­dem, le zopi­clone, le zalé­plone et leurs méta­bo­lites simul­ta­né­ment à partir d’un seul spéci­men.

ANALYSES Diagnos­tic et surveillance du cancer de la thyroïde
Roche a annoncé le lance­ment mondial (sauf aux Etats-Unis) d’Elec­sys Calci­to­nin, nouveau test de labo­ra­toire pour le diagnos­tic du cancer médul­laire de la thyroïde et le suivi à vie des patients après inter­ven­tion chirur­gi­cale thyroï­dienne. La calci­to­nine est un marqueur tumo­ral spéci­fique qui peut aider les profes­sion­nels de santé à diagnos­tiquer de façon précoce le carci­nome médul­laire de la thyroïde, car l’ap­pa­ri­tion de ce type de cancer est asso­ciée à des concen­tra­tions élevées de calci­to­nine dans le sang. Ce nouveau test est une impor­tante compo­sante de l’éva­lua­tion médi­cale, en parti­cu­lier quand les symp­tômes du patient ne sont pas spéci­fiques. En plus des examens complé­men­taires, le test de la calci­to­nine confirme le bilan clinique final. Les patients peuvent être trai­tés à un stade plus précoce, ce qui augmente leurs chances de voir leur trai­te­ment réus­sir. Le marqueur Elec­sys Calci­to­nin est conçu pour une utili­sa­tion sur la plate­forme d’ana­ly­seur cobas modu­lar de Roche.

ANALYSES Doser la thyro­glo­bu­line sensible

La divi­sion Clini­cal Diagnos­tic de Thermo Fisher Scien­ti­fic propose son nouveau réac­tif B•R•A•H•M•S hTg sensi­tive KRYPTORTM pour le suivi des patients trai­tés pour cancer diffé­ren­cié de la thyroïde.Les enjeux de la prise en charge des patients à faible risque de réci­dive de cancer thyroï­dien diffé­ren­cié sont de préve­nir et de dépis­ter les rechutes tout en évitant un suivi trop agres­sif pour le patient et souvent coûteux pour l’éta­blis­se­ment.L’uti­li­sa­tion d’un dosage sensible de la thyro­glo­bu­line dans le suivi du patient permet­trait de limi­ter la réali­sa­tion du test de stimu­la­tion (rh-TSH) et contri­bue­rait à une meilleure qualité de vie du patient.

Avec un seuil de détec­tion à 0,09 ng/mL, une sensi­bi­lité fonc­tion­nelle à 0,15 ng/mL et la stan­dar­di­sa­tion sur le CRM 457, cette trousse répond à ce nouveau défi d’une amélio­ra­tion de la prise en charge des patients. Ce réac­tif conso­lide la gamme thyroïde spécia­li­sée déjà dispo­nible sur l’au­to­mate KRYPTOR compact Plus : TRAK humain, anti-Tgn et anti-TPOn.

INFORMATIQUE DE LABORATOIRE Midd­le­ware de bacté­rio­lo­gie

Le midd­le­ware SirWeb permet de gérer tous les résul­tats de bacté­rio­lo­gie. Il connecte tous les auto­mates de bacté­rio­lo­gie, propo­sés par i2a ou non, et réalise la fiabi­li­sa­tion des résul­tats, le diagnos­tic, l’op­ti­mi­sa­tion des flux, la traça­bi­lité des opéra­tions et des échan­tillons, la person­na­li­sa­tion, le stockage et l’ex­ploi­ta­tion des données. Adapté à tous les SIL, il peut être connecté avec plusieurs SIL simul­ta­né­ment. Il est couplé avec le système Scan’Bac  » paper less  » ou  » scan­ner « , pour la saisie de toutes les infor­ma­tions  » manuelles « , non produites par des auto­mates. Le système permet une grande person­na­li­sa­tion des para­mé­trages, des saisies, des systèmes experts de vali­da­tion. Ces derniers permettent une vali­da­tion tech­nique des résul­tats, une vali­da­tion biolo­gique, avec établis­se­ment des diagnos­tics quand cela est possible et souhaité, une opti­mi­sa­tion des flux, en prépa­rant les envois ulté­rieurs de données aux auto­mates en fonc­tion des résul­tats saisis ou récu­pé­rés d’autres instru­ments. Le logi­ciel gère la traça­bi­lité (opéra­tions/opéra­teurs), l’his­to­rique des opéra­tions par patient, échan­tillon ou isolat, et des réac­tifs utili­sés par échan­tillon. Il intègre des fonc­tions avan­cées de trai­te­ment des données, auto­ma­ti­sables, et l’en­voi aux desti­na­taires, réali­sable sous forme élec­tro­nique est égale­ment auto­ma­ti­sable.

INFORMATIQUE DE LABORATOIRE SGL conso­lidé pour la sécu­rité multi­site

L’édi­teur de solu­tions infor­ma­tiques pour la gestion des labo­ra­toires Tech­ni­data, lance une nouvelle version de son appli­ca­tion TD-Synergy. Parmi les nouveau­tés, cette version 11.81 embarque des fonc­tion­na­li­tés inno­vantes et d’im­por­tance touchant notam­ment à la sécu­ri­sa­tion de la gestion des prélè­ve­ments biolo­giques, leur trans­port, leur stockage, et leur traça­bi­lité. Ces fonc­tion­na­li­tés permettent aux labo­ra­toires d’op­ti­mi­ser leur orga­ni­sa­tion, leur effi­ca­cité et leur flexi­bi­lité dans un contexte multi­site (gestion de plusieurs sites délo­ca­li­sés). Cette version 11.81 permet aux labo­ra­toires de véri­ta­ble­ment adap­ter le work­flow aux besoins parti­cu­liers du labo­ra­toire. Les nouvelles fonc­tion­na­li­tés de gestion des prélè­ve­ments améliorent l’iden­ti­fi­ca­tion des échan­tillons biolo­giques pour un gain de temps précieux lors d’une recherche, et pour une meilleure sécu­rité du patient. Distri­bué dans plus de 25 pays, le système de gestion de labo­ra­toire TD-Synergy est flexible, évolu­tif et facile à inter­fa­cer. Des modules dédiés permettent d’ap­por­ter des réponses spéci­fiques aux diffé­rentes disci­plines et offrent des fonc­tion­na­li­tés faci­li­tant la démarche d’ac­cré­di­ta­tion.

SERVICES EN LIGNES L’Hé­mo­stase sur iPad

QR Code pour l'iHemOStasis de Stago

A desti­na­tion des profes­sion­nels de la santé et plus large­ment à ceux qui veulent parfaire leurs connais­sances en hémo­stase, Stago a créé l’ap­pli­ca­tion iHemOS­ta­sis, dispo­nible sur iPad (non compa­tible sur iPhone). Gratuite et en langue anglaise, cette appli­ca­tion éduca­tion­nelle propose 4 parties :
• Cascade de la coagu­la­tion : anima­tions des prin­ci­paux méca­nismes de la coagu­la­tion avec descrip­tif des diffé­rentes étapes : prin­cipe géné­ral ; hémo­stase primaire ; fibri­no­for­ma­tion et fibri­no­lyse ; système PC-PS-PZ ; anti­coa­gu­lants ;
• Cas cliniques sous forme de quiz avec réponses argu­men­tées ;
• Guide pratique : synthèse de ce qu’il faut rete­nir en hémo­stase avec normales, arbres déci­sion­nels et suivis de trai­te­ments ;
• Spécial focus : fiches d’in­for­ma­tion sur des sujets spéci­fiques (anti­coa­gu­lants, géné­ra­tion de throm­bine, cyto­mé­trie en flux, valeurs normales des tests d’hé­mo­stase en pédia­trie et chez la femme enceinte).
iHemOS­ta­sis est dispo­nible sur l’App store partout dans le monde et peut égale­ment être télé­char­gée via le QR code ci-dessus. Après une semaine sur l’App Store, iHemOS­ta­sis avait déjà été télé­char­gée dans plus de 60 pays.

SERVICES EN LIGNES Manuel de prélè­ve­ment déma­té­ria­lisé

Bio1book de Greiner Bio-One

Parce que les labo­ra­toires de biolo­gie médi­cale sont tenus d’as­su­rer la docu­men­ta­tion des instruc­tions préana­ly­tiques, Grei­ner Bio-One a lancé son service bio1­book. Conçu avec des biolo­gistes pour des biolo­gistes, ce nouveau portail web ergo­no­mique, sécu­risé et person­na­li­sable dédié au manuel de prélè­ve­ment s’adresse à tous les publics de l’éta­blis­se­ment. En relais des bonnes pratiques préana­ly­tiques, cette plate­forme web assure la docu­men­ta­tion des procé­dures préana­ly­tiques et permet :
• une mise à jour en temps réel des docu­ments ;
• un envoi auto­ma­tique d’email d’in­for­ma­tion aux utili­sa­teurs ;
• une traça­bi­lité des consul­ta­tions ;
• une conser­va­tion des données à long terme ;
• une sécu­ri­sa­tion de l’ac­cès aux données ;
• un double stockage des données ;
• une person­na­li­sa­tion des conte­nus et de la charte graphique ;
• une opti­mi­sa­tion pour smart­phone.
L’er­go­no­mie a été pensée pour plus de convi­via­lité, plus d’in­te­rac­ti­vité et une meilleure acces­si­bi­lité à l’in­for­ma­tion. Le tout, aux couleurs de votre choix. Ce service dédié aux clients de Grei­ner Bio-One est enri­chi de photos, vidéos ou encore proto­coles néces­saires à l’ani­ma­tion du manuel de prélè­ve­ment. La société propose égale­ment d’ac­com­pa­gner les biolo­gistes dans la créa­tion et la mise en ligne de leur manuel de prélè­ve­ment en trans­po­sant leur manuel papier sur la plate­forme dédiée à leur labo­ra­toire. Cette appli­ca­tion s’ins­crit dans la lignée du posi­tion­ne­ment global de la société, qui souhaite propo­ser une approche complète et person­na­li­sée de solu­tions et de services pour répondre aux enjeux de la phase préana­ly­tique.

puce Actua­li­tés
VIE DES SOCIETES Onco­de­sign, chef de file d’une filière natio­nale pour la méde­cine person­na­li­sée

Fondée en 1995 et diri­gée par le Dr Philippe Genne, Onco­de­sign est un spécia­liste, et un des leaders, dans l’éva­lua­tion précli­nique des théra­pies anti­can­cé­reuses. Experte en phar­ma­co­lo­gie, en image­rie et en chimie médi­ci­nale, l’en­tre­prise dijon­naise possède égale­ment de solides compé­tences en gestion de projet, notam­ment mises au service du projet IMODI (Inno­va­tive MODels Initia­tive), récem­ment salué par Oséo. Ce projet de parte­na­riat public-privé prévoit la mise en place d’une filière natio­nale dédiée à la méde­cine person­na­li­sée en onco­lo­gie, sur la base d’un budget global de 41 millions d’eu­ros. François Drouin, PDG d’Oséo et Vice-Président de la BPI, a annoncé en présence du Président de la Répu­blique, François Hollande, qu’IMODI béné­fi­cie­rait d’un finan­ce­ment de 13,4 millions d’eu­ros au titre de lauréat du Programme d’In­ves­tis­se­ments d’Ave­nir.Le projet de recherche IMODI a pour but de faci­li­ter la sélec­tion de nouveaux trai­te­ments effi­caces contre 8 patho­lo­gies cancé­reuses. Cette initia­tive natio­nale vise à mutua­li­ser les moyens alloués au déve­lop­pe­ment, à la carac­té­ri­sa­tion et à la valo­ri­sa­tion de plus de 200 modèles expé­ri­men­taux de cancers prédic­tifs, d’une large gamme de produits biolo­giques déri­vés et de tests de sélec­tion de molé­cules. Le projet prévoit égale­ment la mise en place d’une biobanque centra­li­sée de plus de 40 000 échan­tillons biolo­giques et d’ou­tils puis­sants d’ana­lyse de données dédiés à l’iden­ti­fi­ca­tion de biomarqueurs tumo­raux, immu­no­lo­giques et issus du micro­biome. Ce projet d’une durée de 7 ans est piloté et coor­donné par Onco­de­sign et regroupe 6 groupes indus­triels (Sanofi, Servier, Ipsen, Pierre Fabre, Trans­gène et Biofor­tis), 4 PME (Onco­me­dics, Ariana Pharma, CTI Biotech et Onco­de­sign) et 7 insti­tu­tions acadé­miques (Inserm, CNRS, les centres de lutte contre le cancer Georges François Leclerc de Dijon et Léon Bérard de Lyon, Syner­gie Lyon Cancer, l’Uni­ver­sité de Stras­bourg et le CHU de Toulouse) répar­tis dans 5 pôles de compé­ti­ti­vité label­li­sa­teurs (Medi­cen Paris Region, Alsace Bioval­ley, Lyon­bio­pôle, Atlan­pole Biothe­ra­pies à Nantes et Cancer-Bio-Santé à Toulouse).

IMODI est lauréat de l’ap­pel à projet  » Projets de Recherche et de Déve­lop­pe­ment Struc­tu­rants des Pôles de Compé­ti­ti­vité  » et il pourra béné­fi­cier, après contrac­tua­li­sa­tion finale avec Oséo, du soutien finan­cier public promis. Ces subven­tions et avances rembour­sables seront répar­ties entre les insti­tu­tions acadé­miques et les PME parte­naires. Le budget prévi­sion­nel global de 41 millions d’eu­ros comporte égale­ment des inves­tis­se­ments privés, et doit géné­rer à terme 350 nouveaux emplois au sein des socié­tés parte­naires sur les 10 prochaines années.

 » Le besoin indus­triel, la complé­men­ta­rité, l’ex­pé­rience et l’in­té­rêt commun des parte­naires est un gage de syner­gie garan­tis­sant la péren­nité de la filière et la créa­tion de valeur écono­mique et scien­ti­fique sur le terri­toire.  » préci­sait François Drouin, PDG d’Oséo.

VIE DES SOCIETES A.Mena­rini s’as­so­cie pour faci­li­ter le dépis­tage

A.Mena­rini diagnos­tics et Kyowa Medex Co. Ltd, reconnu comme un four­nis­seur inno­vant en diagnos­tic in vitro, annoncent leur parte­na­riat euro­péen visant à mettre sur le marché un test inno­vant de dépis­tage immu­no­lo­gique du cancer colo­rec­tal déve­loppé par Kyowa Medex. La méthode immu­no­lo­gique permet­tra notam­ment une meilleure adhé­sion des patients au programme de dépis­tage. Par cet accord, A.Mena­rini diagnos­tics complète sa présence dans les diffé­rentes phases de la mala­die : dépis­tage, diagnos­tic et orien­ta­tion du trai­te­ment person­na­lisé par biothé­ra­pie. Créée en 1964, cette filiale du 1e groupe phar­ma­ceu­tique italien Mena­rini est aujourd’­hui implan­tée dans plus de 100 pays. En 2012, en France, plus de 7,5 millions de patients ont pu béné­fi­cier de ces inno­va­tions dans les domaines du diabète, de la cancé­ro­lo­gie et des mala­dies auto-immunes et de l’hé­ma­to­lo­gie.Créée en 1981, Kyowa Medex, filiale de la société phar­ma­ceu­tique japo­naise Kyowa Hakko Kirin, propose plusieurs gammes de produits de diagnos­tics in vitro dans le monde entier, ciblant l’hy­per­li­pi­dé­mie, le diabète, les marqueurs tumo­raux, ainsi que des tests compa­gnons et des instru­ments médi­caux. Son analy­seur HM-JACKTM, est un système tota­le­ment auto­ma­tisé pour le dépis­tage du cancer colo­rec­tal.

VIE DES SOCIETES Thera­diag conso­lide sur tous les fronts

Depuis le début de l’an­née 2013, la société a déjà annoncé le marquage CE de trois kits de diagnos­tic in vitro issus de sa recherche proprié­taire et a reçu un soutien d’Oséo.Récem­ment entré en bourse, la société annonçait en février le marquage CE de deux nouveaux kits de moni­to­ring pour les biothé­ra­pies, Toci­li­zu­mab (anti-IL6R) et Rituxi­mab (anti-CD20), complé­tant sa gamme Lisa Tracker. Cette gamme de diagnos­tic multi­pa­ra­mé­trique est dédiée aux mala­dies auto-immunes et aux patients trai­tés par biothé­ra­pies. Avec ces deux nouveaux kits déjà commer­cia­li­sés en Europe, la société fran­ci­lienne propose aujourd’­hui sept kits de dosage conco­mi­tant de para­mètres de suivi de ces mala­dies. Le Rituxi­mab étant égale­ment utilisé dans le trai­te­ment des cancers héma­to­lo­giques, ces kits lui ouvrent la voie vers la cancé­ro­lo­gie.En avril, c’est le nouveau kit de diagnos­tic proprié­taire anti-CCP dans la poly­ar­thrite rhuma­toïde qui a reçu le précieux marquage CE. Basé sur 4 anti­gènes breve­tés, ce test détecte avec une grande fiabi­lité les formes sévères de poly­ar­thrite rhuma­toïde. Il s’ajoute à la gamme in house Fidis dédiée aux mala­dies auto-immunes et basée sur la tech­no­lo­gie Multi­plex. Dispo­nible à l’in­ter­na­tio­nal, cette gamme, parmi les plus complètes commer­cia­li­sées, posi­tionne la société dans les majors du diagnos­tic et du suivi de ces mala­dies.

Si le segment de l’auto-immu­nité a repré­senté 43 % des ventes de Thera­diag en 2012, en forte crois­sance sur l’an­née, la société souhaite encore élar­gir sa gamme et se posi­tion­ner comme leader du diagnos­tic miARN en accé­dant à des marchés diagnos­tics porteurs.

Grâce à sa plate­forme microARN d’iden­ti­fi­ca­tion de biomarqueurs spéci­fiques de diagnos­tic, la société a reçu un soutien d’Oséo de 1,2 million d’eu­ros dans le cadre du projet CaReNA. Ce projet réunis­sant Spli­cos, spécia­liste de l’épis­sage alter­na­tif des ARN, Thera­diag et le CNRS, pour­rait atteindre un montant global de18 M€. Fondé sur le ciblage de l’ARN, il vise deux premières indi­ca­tions : le trai­te­ment du VIH/SIDA et l’obé­sité. Ce premier soutien servira au déve­lop­pe­ment par Thera­diag de 4 nouveaux kits de diagnos­tic. Les deux premiers tests seront compa­gnons des compo­sés de Spli­cos, l’un trai­tant le VIH/SIDA, l’autre le diabète et les désordres méta­bo­liques asso­ciés. Ils seront mis en œuvre dès les phases de déve­lop­pe­ment clinique pour un suivi person­na­lisé de l’ef­fi­ca­cité du trai­te­ment. Le troi­sième test sera dédié au moni­to­ring précoce de l’évo­lu­tion de l’in­fec­tion par le VIH et de l’évo­lu­tion de la mala­die. Enfin, le quatrième devra évaluer, via la quan­ti­fi­ca­tion de miARN prédic­tifs, la réponse et/ou la résis­tance aux trai­te­ments anti­ré­tro­vi­raux.

VIE DES SOCIETES SIL-LAB Experts : Conseils et Inno­va­tions infor­ma­tiques
Suite au rapport de l’IGAS (2006), la biolo­gie connaît sa plus grande réforme depuis ces 50 dernières années. Après 11 ans de conseil et 6 ans comme Direc­teur du Système d’In­for­ma­tion (DSI) dans un groupe inter­na­tio­nal de LBM, Serge Payeur a décidé de créer SIL-LAB Experts et a trouvé une complé­men­ta­rité chez Pascal Guyard qui évolue depuis plus de 10 ans dans des fonc­tions commer­ciales au sein d’édi­teurs et d’in­dus­triels du diagnos­tic. SIL-LAB Experts accom­pagne les biolo­gistes, DSI, indus­triels et orga­nismes de tutelle dans la mise en appli­ca­tion de leurs choix tech­no­lo­giques, orga­ni­sa­tion­nels et dans leurs prises de déci­sions stra­té­giques. Les domaines d’ex­per­tises sont variés comme par exemple :
• Préco­ni­sa­tion et déploie­ment de solu­tions inno­vantes (inter­opé­ra­bi­lité, signa­ture élec­tro­nique, outils colla­bo­ra­tifs) ;
• Mise en confor­mité sur le volet système infor­ma­tique de l’ac­cré­di­ta­tion ISO-15189 ;
• Réflexions sur les feuilles de route et le déve­lop­pe­ment commer­cial pour les indus­triels ;
• Conseils sur la stra­té­gie de déve­lop­pe­ment pour les LBM.
Les consul­tants de SIL-LAB Experts apportent une réelle valeur ajou­tée dans leurs missions, afin de renta­bi­li­ser les inves­tis­se­ments néces­saires pour négo­cier le virage dans lequel est enga­gée la biolo­gie.

PROFESSION Nais­sance du consor­tium Global Care

Cinq insti­tuts Carnot, leaders inter­na­tio­naux dans la R&D en santé humaine, s’as­so­cient pour former le consor­tium GLOBAL CARE,  » The Global Part­ne­ring Research Initia­tive of the Carnot Human Health Insti­tutes  » pour accroître leur acti­vité de recherche parte­na­riale à l’étran­ger avec l’in­dus­trie et les orga­ni­sa­tions de recherche tech­no­lo­giques inter­na­tio­nales (RTO). De par leurs fortes noto­rié­tés, ces insti­tuts entendent renfor­cer leurs posi­tion­ne­ments sur trois des plus impor­tants marchés de la santé – biophar­ma­cie, diagnos­tic et image­rie – et espèrent atteindre la masse critique permet­tant de mener des actions communes de « busi­ness deve­lop­ment » et de R&D à l’in­ter­na­tio­nal, une première pour la France.Cons­ti­tué de PASTEUR MI (Mala­dies Infec­tieuses) – coor­di­na­teur du consor­tium -, VOIR ET ENTENDRE (patho­lo­gies et handi­caps de la vision et de l’au­di­tion), ICM (patho­lo­gies dégé­né­ra­tives et trau­ma­tiques du système nerveux central et handi­cap lié), CURIE-CANCER (cancers) et CALYM (lymphomes), GLOBAL CARE couvre 4 grands domaines théra­peu­tiques : l’on­co­lo­gie, la neuro­lo­gie, les mala­dies infec­tieuses et l’oph­tal­mo­lo­gie. Sélec­tionné dans le cadre de l’ac­tion spéci­fique Carnot  » Inter­na­tio­nal  » du Programme Inves­tis­se­ments d’Ave­nir, le consor­tium a été doté par l’Etat d’un capi­tal non consomp­tible de 85 millions d’eu­ros, dont les inté­rêts, esti­més à envi­ron 14 millions d’eu­ros sur 5 ans, finan­ce­ront des actions mutua­li­sées ayant pour objec­tif : d’ac­croître ses acti­vi­tés de recherche parte­na­riale à l’étran­ger avec des entre­prises et/ou des RTO ; d’op­ti­mi­ser son offre tech­no­lo­gique ; de promou­voir l’ex­per­tise scien­ti­fique française ; de renfor­cer les capa­ci­tés de ressour­ce­ment scien­ti­fique des insti­tuts ; de géné­rer des reve­nus addi­tion­nels pour ses tutelles par la valo­ri­sa­tion des travaux et inno­va­tions décou­lant de ses programmes R&D.

PROFESSION La NF S90–351 éten­due aux labo­ra­toires hospi­ta­liers

La norme NF S90–351 a été mise à jour pour favo­ri­ser la syner­gie des acteurs (ache­teurs, utili­sa­teurs, concep­teurs et four­nis­seurs) de la préven­tion du risque de conta­mi­na­tion dans les locaux hospi­ta­liers à envi­ron­ne­ments maîtri­sés. Le domaine d’ap­pli­ca­tion de la norme a été étendu à toutes les zones à envi­ron­ne­ments maîtri­sés des établis­se­ments de santé (ES) : labo­ra­toires, phar­ma­cie, stéri­li­sa­tion, secteurs inter­ven­tion­nels, opéra­toires, soins inten­sifs, réani­ma­tion, soins proté­gés…En 10 ans sont appa­rues de nouvelles procé­dures et de nouvelles tech­no­lo­gies liées aux instal­la­tions de trai­te­ment et de maîtrise de l’air dans les ES. La S90–351 a donc été revi­si­tée en inté­grant égale­ment les actuelles exigences de sécu­rité sani­taire pour la concep­tion, l’uti­li­sa­tion, l’ex­ploi­ta­tion et la main­te­nance des  » salles propres « . Cette nouvelle formule guide les parties prenantes plus en amont : elle délivre une aide à l’ana­lyse de risque et à la forma­li­sa­tion des besoins, des perfor­mances atten­dues et des contraintes à respec­ter. Elle propose un tableau spéci­fiant la classe de risque mini­mum à respec­ter en fonc­tion du type d’ac­ti­vité dans les diffé­rents secteurs. On y retrou­vera de nombreux outils pour chaque étape de conduite de projet, adap­table à chaque acteur pour préve­nir ainsi tout risque de conta­mi­na­tion.Norme NF S90–351 d’Af­nor – Indice de clas­se­ment : S 90–351 ; ICS : 11.080.01

SCIENCES Le sepsis s’ex­prime
Comp­tant parmi les causes majeures de morta­lité, le sepsis vient de révé­ler un de ses secrets lors d’une recherche asso­ciant les Hospices Civils de Lyon et ImmunID. Alors que la diver­sité des lympho­cytes T chez les indi­vi­dus sains se situe géné­ra­le­ment entre 56 et 80 %, la diver­sité du réper­toire immu­ni­taire étudiée avec les tests de profi­lage immu­ni­taire d’Im­munID chez 41 patients septiques immé­dia­te­ment après le choc septique (J1) et une semaine plus tard (J7), se carac­té­ri­sait par une diver­sité réduite, avec une médiane de 15 % à J1 et de 43 % à J7. 96 % de ces patients ont montré une augmen­ta­tion signi­fi­ca­tive de cette diver­sité au cours de la première semaine, tandis que le simple comp­tage lympho­cy­taire ne montrait pas de diffé­rence.Cette obser­va­tion inédite suggère l’exis­tence d’une libé­ra­tion systé­ma­tique des lympho­cytes préa­la­ble­ment rete­nus dans les compar­ti­ments péri­phé­riques. De plus, la morta­lité semble direc­te­ment corré­lée à cette réduc­tion de diver­sité à J7 (< 33 %), tout comme les pers­pec­tives d’ap­pa­ri­tion des infec­tions noso­co­miales. L’uti­li­sa­tion de tests de diver­sité immu­ni­taire pour­rait donc appor­ter des pers­pec­tives impor­tantes pour le suivi et l’adap­ta­tion du trai­te­ment des patients septiques.

SCIENCES Cancer : des tests prédic­tifs inef­fi­caces

Surprise : lorsque les cher­cheurs de l’IGR ont voulu repro­duire les résul­tats de l’étude IALT Bio de 2006, ils ne s’at­ten­daient pas à une telle remise en cause des tests actuel­le­ment commer­cia­li­sés.L’étude IALT Bio démon­trait que la capa­cité d’ERCC1 à répa­rer les adduits de platine sur l’ADN confé­rait à cette protéine un rôle prédic­tif de l’ef­fi­ca­cité de la chimio­thé­ra­pie à base de cispla­tine pour des patients opérés d’un cancer du poumon non à petite cellule ; les patients n’ex­pri­mant pas ERCC1 (ERCC1-) étant les seuls sensibles à la chimio­thé­ra­pie.Or, quand le « groupe Thorax », piloté par le Pr Jean-Charles Soria, de l’unité de recherche Inserm UMR981 à Gustave Roussy que dirige le Pr Fabrice André, a voulu repro­duire ces résul­tats sur deux séries améri­caines (LACE-Bio) avec le même anti­corps mais d’un lot diffé­rent pour doser ERCC1 sur les mêmes cohortes, ils ont trouvé des résul­tats diffé­rents ne permet­tant pas de conclure au rôle prédic­tif d’ERCC1.

Ce travail a poussé l’équipe à mener une série d’ex­pé­riences de véri­fi­ca­tion : ERCC1 est-elle vrai­ment un biomarqueur d’in­té­rêt pour cette chimio­thé­ra­pie ? Les outils de dosage d’ERCC1 utili­sés actuel­le­ment sont-ils adap­tés ? Quelles sont les isoformes d’ERCC1 recon­nues par ces anti­corps et sont-elles expri­mées dans les tumeurs ? Et lesquelles sont fonc­tion­nelles ?

Ces travaux, fruits de 3 années de recherche, lèvent l’am­bi­guïté sur ERCC1 : son carac­tère de biomarqueur prédic­tif est bien avéré, mais unique­ment pour son isoforme ERCC1–202, la seule des quatre isoformes d’ERCC1 à être fonc­tion­nelle, c’est-à-dire capable de répa­rer les adduits de platine sur l’ADN. Et donc la seule pouvant être utili­sée comme marqueur prédic­tif d’ef­fi­ca­cité de la chimio­thé­ra­pie à base de cispla­tine. Ce sont les outils d’éva­lua­tion de l’ex­pres­sion d’ERCC1 qui ne sont pas adap­tés : les auteurs ont démon­tré qu’au­cun des 17 anti­corps commer­cia­li­sés actuel­le­ment n’est spéci­fique de cette isoforme, et qu’ils ne détectent donc que des « faux posi­tifs ». Il est donc néces­saire de déve­lop­per un nouveau test ciblant spéci­fique­ment le niveau d’ex­pres­sion d’ERCC1–202 pour iden­ti­fier les patients véri­ta­ble­ment sensibles à la chimio­thé­ra­pie à base de cispla­tine, soit ceux dont les cellules tumo­rales n’ex­priment pas cette isoforme.

Le « groupe Thorax » de l’unité de recherche Inserm UMR981 de Gustave Roussy travaille sur un tel test et s’in­ves­tit dans son évalua­tion pour confir­mer ses perfor­mances et vali­der ces résul­tats. Ces travaux de recherche s’ins­crivent dans la stra­té­gie déve­lop­pée par l’IGR de mise en œuvre de la méde­cine person­na­li­sée en iden­ti­fiant de nouvelles cibles théra­peu­tiques et des marqueurs biolo­giques asso­ciés, prédic­tifs d’ef­fi­ca­cité des théra­pies ciblées.

A LIRE ISO 26000 en action (C. Coul­let-Demai­zière)

Couverture : ISO 26000 en action

Le passage à l’ISO 15189 oblige les labo­ra­toires à se repen­ser… Pourquoi ne pas en profi­ter ? Fêtant ses deux années d’exis­tence, l’ISO 26000 présente des lignes direc­trices pour tout type d’or­ga­ni­sa­tion cher­chant à assu­mer la respon­sa­bi­lité des impacts de ses déci­sions et acti­vi­tés et à en rendre compte.En effet, une fois l’idée du déve­lop­pe­ment durable deve­nue évidence, comment la traduire au quoti­dien ? Dans ce livre, les bonnes pistes sont rassem­blées à l’at­ten­tion des orga­ni­sa­tions qui veulent forma­li­ser et évaluer leur contri­bu­tion au déve­lop­pe­ment durable, à travers une vision, une stra­té­gie, une démar­che… Il montre égale­ment comment explo­rer autre­ment des outils souvent déjà utili­sés et en perce­voir la complé­men­ta­rité dans le sens d’un Déve­lop­pe­ment durable.Très orien­tés « terrain », les métho­do­lo­gies, les outils d’éva­lua­tion (AFAQ 26000, label Lucie, EFQM…) et les bonnes pratiques sont complé­tées par des avis d’ex­perts, des témoi­gnages et des retours d’ex­pé­rience d’or­ga­ni­sa­tions telles que Idéa Groupe, Bosch Rodez, Promé­vil, Eurexia, CLE-Produc­tion et Services, Bouygues, le minis­tère de la Région Bruxelles-Capi­tale, le SDEA du Bas-Rhin ou la CCIT d’Alençon. Le livre est préfacé par Jacques Huybrechts, diri­geant d¹en­tre­prise, fonda­teur d’En­tre­pre­neurs d¹ave­nir.

ISBN: 978–2–12–465382–9, Réf. : 3465376 – 09/12 – 26,54 €HT – 272 p.

puce Égale­ment dans Spec­tra Biolo­gie n° 200
  • MANIFESTATION
    40 ans de dépis­tage néona­tal : pers­pec­tives
    Asso­cia­tion Française pour le Dépis­tage et la Préven­tion des Handi­caps de l’En­fant (AFDPHE)
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  • UN POINT SUR
    Le Cloud Compu­ting, une oppor­tu­nité pour la confor­mité ISO 15189:2012
    Domi­nique RINGARD
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  • UN POINT SUR
    Le champ d’ap­pli­ca­tion de l’in­dus­trie des télé­com­mu­ni­ca­tions sans fil au sein du marché de l’e-santé
    Rémi TOISER, Nacer-Eddine SADI, Arsia AMIR-ASLANI
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  • INTERVIEW
    Congrès, forma­tions, publi­ca­tions : l’ac­tua­lité char­gée de la SFIL
    Martine OTTER, prési­dente de la SFIL
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  • UN POINT SUR
    Déve­lop­pe­ment Profes­sion­nel Continu et Biolo­gie médi­cale
    Nelly JACOB, Isabelle AIMONE-GASTIN, Jean-Pierre ARZOUNI, Chris­tine AUGEREAU
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  • INTERVIEW
    Déve­lop­pe­ment profes­sion­nel continu : des ques­tions en suspens…
    Monique WEBER, direc­trice de l’OGDPC
    Voir l’ar­ti­cle…
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puce Mani­fes­ta­tions
>> Congrès 2013 de la Société Française d’In­for­ma­tique de Labo­ra­toire (SFIL)
VITTEL – 14–16 Mai
>>Forum LABO & BIOTECH
PARIS – 4–7 Juin
>>26e Congrès de la Société Française de Trans­fu­sion Sanguine (SFTS)
PARIS – 11–13 Juin
>>53es Jour­nées d’études et de forma­tion IHF
PARIS – 19–21 juin

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